Bon, c’est ma première journée qui a eu de l’allure depuis mon arrive a Inverness.
J’ai passé la première semaine à me vendre pour des jobs et n’ai eu que deux rappel pour des entrevues. La premièrement, un manque de communication a fait que je suis arrivé en retard a l’entrevue (une job de réception de nuit, communément appelé Night porter, 7 pounds de l’heure, 14h/semaine) et deuxième entrevue, serais pour devenir un artiste du sandwich, chez subway (déjà moins pires que McDonald) mais pour un salaire en bas du salaire minimum de 10 pennies (je savais pas que c’est possible de payer quelqu’un plus bas que le salaire minimum…). Je me refuserai pas cette job puisque je n’ai pas été rappelé par l’agence cette semaine (yé….ca recommence, ca revient au même avec toutes les agences on dirait).
Et comme il n’y a presque pas de demande d’employé sur les sites que je fréquente (soit l’agence nationale d’emploie et gumtree, un site de petites annonces) j’ai commencé à visiter Inverness petit a petit.
Je vous rassure, j’ai travaillé cette semaine, j’ai fait un gain de 6 nuit gratuite, voir 7, en faisant du remplacement a mon auberge.
Je me suis procuré une carte de la ville et des suburb (la ville est assé petite pour qu’une carte touristique prenne en compte la banlieue). Mon deuxième réflexe fut de trouver sites historique, ma carte mentionne quelques endroit néolithique ou picte mais malheureusement, tous on pas mal disparu, a se dire qu’ils se foutent de leur histoire et font des maisons moderne par-dessus.
Le seul endroit vraiment safe, est la foret de Craig Phadrig, la ou apparemment il y aurait des ruines d’un fort picte. J’ai donc décidé d’aller me plonger dans l’histoire en le retrouvant. Apparemment, il y a même des légendes a propos de ce fort, ce serait l’endroit ou aurait résidé le roi Brude, roi des pictes lors de la campagne de christianisation faite par St-Columba, alors en Exil de l’Irlande.
Première tentative, déjà mentionné dans mon post sur la fête de l’Australie, je me retrouve perdue dans le fond de la campagne parce que j’ai mal suivis les indications et me suis trompé de fort.
Deuxième tentative : je suis toujours au mauvais endroit, cette fois accompagne par Tanya, une autre montréalaise, on se retrouve par l’autre issue de Inverness entouré de Moutons et de champs. On croit avoir manqué un tournant pour renter dans le foret, il fait noir (il est 7h du soir) et je pensais pas m’aventurer trop loin dans la nuit avec quelqu’un qui voit pas plus loin que le bout de son nez dans le noir.
TROISIÈME tentative : je retourne par le même chemin de jour, cette fois-ci avec Emmanuelle, un italien (Sicilien, ben oui je l’ai pas tué, je m’entends très bien avec lui-même) qui réside à l’auberge et travaille temps plein comme nettoyeur. On trouve le tournant que j’ai manqué de nuit et on se retrouve dans la foret. Il pleut finement mais constamment (ici, il pleut tellement que les grosses goutes sont rares). En chemin, on sait pas ou aller (j’ai oublié ma carte) et on demande notre chemin. Pendant qu’Emmanuelle se fait attaquer férocement par un chiot, j’en profite pour parler avec sa maitresse qui m’indique que je suis pas du tout dans le bon coin pour retrouver l’endroit. On retourne à l’auberge détrempé en faisant un détour par l’épicerie.
QUATRIÈME tentative, succès. Je regarde ma map et Google m’indique où aller précisément. J’emprunte donc un vélo, en fait le seul vélo presque utilisable. Presque parce que les frein sont sur le dernier souffle et font un acv dans une côte…. ah aussi, comble du random (comme dirais Gab) il a eu une tempête de neige (a l’écossaise, donc ben venteuse mais pas aussi forte qu’une québécoise) tout le long de mon trajet… Je survis a me rendre jusqu'à l’autre entrée de la foret, pour ca je dois monter le versant sud qui par chance est habité d’une des banlieue. Après m’être perdue 2 fois dans le bois (après 15 minutes dans le boisée, j’avais déjà les pieds trempe, tu parle d’une paire de botte utile…) je trouve le chemin indiqué dans mes notes. Faut dire que je suis pogner a trainer mon $ »#?&#$ de vélos dans la montagne, pas que personne le vole mais j’ai pas de chaine et je veux pas perdre un vélo qui vaut pu rien mais qui est encore utile a un des gars de l’auberge qui vas a sa deuxième job avec….finalement j’arrive aux ruines (youhou, ca m’auras quand même pris 4 tentative sur 5 jours pour le trouver) et découvre qu’il ne reste plus rien du fort, seulement l’emplacement qui garde les traces d’avoir un long mur circulaire sur celui-ci….ça fait au moins 1500 ans que personne l’utilise, je m’attendais a rien de toute façon….déçu je me dis que je vais quand même prendre des photo après ma montée avec un vélo sans frein tout rouillé…. La tempête reprend, j’ai tenté de prendre des photos du décors avec les flocons sans succès. Vous me direz, j’ai perdu un après midi la dedans, et bien je vous dirai non. Ma raison est que j’ai repris mon gout de faire de la photo, je me suis mis à deconner avec celui-ci dans la foret et la volonté a ressurgis des profondeurs de mon esprit.
Dans mon gout de continuer de faire de la photo, j’ai décidé de me rendre au bord de l’eau car je suis encore dans une ville portuaire (apparemment, j’ai un pattern de toujours vivre dans ce genre de ville) et d’y voir la light house. Je prends le vélo et suit l’autoroute qui longe l’eau (j’étais quand même sur une piste cyclable)
après une courte distance je découvre des escalier fais de terre et de bois en bordure de l’autoroute, je décide d’y aller. Je traine mon vélo sur une courte distance puis le ‘’dépose’’ par terre.
Près des escalier se retrouve une petite formation rocailleuse presque complètement recouverte de mousse et ayant un monument au dessus. Je suit les escalier jusqu’au monument qui vous pouvez voir ici.
Clan Chattan. J’ai pas a vous dire que c’est un Clan en écosse mais ce que je peux vous apprendre, c’est qu’ils ont perdu beaucoup d’homme durant la guerre Jacobite causée par Bonnie Prince Charlie, un prince française en exil qui a monté une rébellion pour prendre contrôle de la grande Bretagne…en vain.
ca c’est passé à coté d’Inverness et supposément c’est supposer d’être jonché de pierre commémorative aux 2000 morts.
c.est a mon départ que j’ai découvert pourquoi l’une des mes botte prenait l’eau si facilement…le cuir a déchiré, l’humidité constance (mes bottes ont pas été sèche depuis mon retour d’Allemagne) et l’usure ont crée un trou de la grosseur d’un orteil…avec un peu de chance un cordonnier peut me les sauver, je me vois mal marcher en converse dans l’herbe mouillé pour les 3 prochains mois.
J’ai décidé après ces 2 découvertes de retourner a l’auberge et de me mettre les pieds au sec…j’irai voir le cordonnier demain.
ca fait 5 mois que mon père est partie...il semble que je n’ai jamais gardé trace du temps, me sauvant de tout ça
c’est par ma sœur que le temps m’est revenue, agressant ma tête de sombre pensée
on ne se rend jamais compte comment le temps peut être si lent et si rapide, tout en étant parsemé de trous noirs.
Je crois que je viens de sortir de l’un de ses trous noir, on m’a rappelé que cela fait 5 mois que mon père a commencé son nouveau voyage. Est-ce un hasard que j’ai écrit cette lettre quelques jours auparavant? Je ne saurais peut être jamais. Ce qui m’importe est que j’ai oublié la notion du temps, je n’ai jamais compté les jours après son départ. Est-ce une bonne chose? Peut être, c’est ce qui m’a permis de me libérer de cette ombre qui me gardait de voir la joie de la vie.
Je ne cesserai jamais de m’étonner de l’inconstance du temps. C’est a ce demandé si le temps ce n’est pas un enfant de 6 qui joue avec des pistes de courses pour voiturette électrique. Souvent il change le parcours avant de terminer un tour complet et parfois il fait reculer la voiturette. Je commence à me dire que la voiturette a été projetée plus loin sur le parcours sans électricité, sans le moteur. Cela me perturbe que je me rends compte que ca fais si longtemps que ce matin ou cet appel funeste me réveilla. Ironiquement, j’avais fais le même coup à ma mère un an auparavant, annonçant le départ de sa mère. La vie est un cycle qui se repose sur les mêmes évènements vers d’autres personnes, peut être est-ce une preuve de ma théorie ou l’une de mes folie passagère si nombreuse.
Après les menaces constant de Gabriel, mon pote germanique à l’accent parisiens vue son entourage à Bremen, je vous écris donc ce petit message faisant part de ce qui m’arrive depuis quelques jours.
Je n’ai toujours pas trouvé d’emploie MAIS les gens a l’auberge ont souvent besoin d’avoir un pseudo employé pour remplacer certains shift de travail et éviter de surmener les gens déjà présent. Je reçois donc des tâches diverses en échange de nuit gratuite (2h de travail équivaut à une nuit et ils me font souvent des shifts d’environ 4h…). Je suis rendu a 6 nuit gratuite en 3 jours, c’est quand même assé bien sachant que certains des shifts, c’est seulement d’être présent dans le lounge au cas ou quelqu’un veut se louer un lit pour la nuit ou si ya des téléphones. Puisque c’est la saison morte, je me retrouve a faire jouer du Muse sur le système de son et a taper a l’ordinateur pendant qu’un autre employé se force à nettoyer les chambres.
Je crois m’être bien intégré ici, les gens sont sympathique, il y a une aura de fun (tout le contraire de Fort William, quand je pense que j’ai tellement voulu y aller pendant quelques temps). Je profite du shift pour envoyer des CV. Bien sur si dimanche prochain je n’ai absolument aucune réponse, je sais que je peux aller travailler temps plein pour une autre auberge de la même franchise sur l’Isle de Skye. Bien sur, travailler temps plein dans une auberge de jeunesse = un lit dans le staff room + 35 pounds pour dépenser en bouffe. Ça pourrait me permettre de visiter Skye pour presque rien, juste de faire du nettoyage en début de journée, plus tôt c’est terminé, plus tôt je pourrais aller prendre des photos des territoires féérique (littéralement, Skye est reconnue pour être un endroit avec beaucoup de légendes sur les Changeling et sur des Fée).
dernièrement c’était la st-jean version Australienne, appelé simplement Australia Day. Un jour de boisson, de connerie en ayant des drapeaux australiens et en se moquant des Kiwi (malheureusement pour les 2 Aussi de l’auberge, ya pas de Kiwi ici). C’est donc après un repas typiquement Australien (des burger sur le Barbie, malheureusement, on en as pas ici alors ils ont été fait dans une pan, Justin le cuistot était vraiment navré). Que tous sont partie sans moi aller boire (j’étais le surveillant de nuit) en portant des symbole de l’Australie. Ils ont été chanceux pour leur retour, je les ai attendue avant de barrer toutes les portes pour la nuit, soit en faisant un 30 min d’overtime a écouter Heroes écrasé dans un divan. pour un australien, toute célébration se fait avec un barbie, Noel, nouvel an, Greve, manifestation, partie de criquet, fête, moyen de se désennuyer. De la surement la fameuse phrase australienne ‘’Shrimps on the Barbie’’
Bref soirée amusante, pas de truc particulier a raconter sinon que j’aurais voulu aller feter avec eux après haha.
Malgré ma recherche constante d’emploi, j’ai pris le temps de visiter un peu la ville qui de est de loin, plus petite que Edinburgh. J’ai tenté par deux fois de trouver les ruines d’un fort supposément a la sortie de la ville, chaque tentative raté me mène plus près du but car a chaque fois on me dit que je commence enfin à trouver l’endroit.
La première fois, l’explication que l’on m’a donné étaient TELLEMENT claires que je me suis fié a la carte mentionnant un fort a la sortie Sud de la ville, sur l’autoroute. J’ai donc passer 2h a marcher sous la pluie fine (après deux heures, fine ou pas, tes complètements trempés comme une éponge) j’abandonne et je retourne. Pour vous expliquer a quel point il a plu, la rivière Ness à presque débordée de son lit, engloutie les petites iles ou l’ont peut marcher.
Deuxième tentative, je redemande les explications ET traine avec moi Tanya, une autre montréalaise qui travaille à l’auberge. Ne vous inquiétez pas, je me ghettorise pas dans la francophonie, elle ne le parle que très peu. Nous finissons par faire un détour extrême de 2h (au lieu de 25 minutes) parce que les indications que nous avions reçues étaient très claires. Haha. Nous nous retrouvons donc après l’exploration de la banlieue d’Inverness, les rangs en bordure des Banlieues….plus précisément des fermes, des moutons et des clôtures en pierre typiquement écossaise. Il fait complètement noir, Tanya a une vue peu habitué a la noirceur donc je me sers de mes yeux de chat, a mon habitude. Mais apparemment on a manqué un tournant quelque part parce qu’on a jamais trouvé l’endroit. Je vais tenter de faire une recherche Google Earth et juste Google pour plus d’information. J’espère que ces ruines en valent la peine haha.
Je vous laisse quand même l’une des photos que j’ai prise durant ma marche avec Tanya.
je sais, enfin tu sais, on s’écrit pas souvent. Il me semble que j’aimerais savoir à quoi ressemblent les collines que tu foule, les rivières auxquelles tu t’abreuve. Moi de mon coté, je pense que je me débrouille. Je commence à me débarrasser de mon stress de l’inconnu, moi qui a toujours détester le changement dans ma vie. Je pense avoir pris la bonne decision de battre cette impression qui nuisait a toutes décision de ma vie.
Et toi? Es-tu heureux ou tu es rendue? As-tu commencé à labourer les champs ou nous piqueniqueront dans 70 ans? Envoies-tu des lettres à maman? Je crois qu’elle s’ennuie de toi. Sabrina aussi même si je suis sur n’en parle pas.
Tu sais, parfois je me demande ce que j’aurais pu faire de différent pour faire ta vie a la maison plus facile, on s’est tellement confronté, s’en était devenu une habitude. Lorsque je pense, c’est la que je me rends compte a quel point j’ai grandi par ta présence et ta vision tellement différente. Je loue les dieux d’avoir quelqu’un comme toi dans ma vie, ou du moins d’avoir eu … J’ai arrêté de te pleurer, j’ai arrêté de me torturer de tout cela depuis mon départ…j’en remercie mon clan et tout ceux qui ont assisté au feu. Je me demande maintenant comment faire pour m’assurer que maman et Sabrina en soit a un stade ou elles seront heureuse, je n’ai plus idée ou elles en sont.
Je me demande parfois si tu fais du pouce pour te promener en nuage ou si tu as ton camping car et que tu survole la route 66 pour enfin faire ton road trip, ou est tu dans les vallées près de ton enfance pour entendre ton dialecte toute la journée?
J’ai essayé de me rendre sur ton territoire en barbe a papa mais mon ticket de retour m’a empêcher de me rendre a destination. De ce que j’ai vue, la vue est belle, si je me retrouve pas dans le cuba, le Guantanamo stellaire quand je prendrai mon ticket de train allé simple, dans 70 ans.
Parfois je me demande si tu es partie en paix, s’il y a quelque chose que tu voudrais accomplir que tu n’as pas eu le temps. La seule réponse, c’est de s’occuper de maman, chose que je crois que Sabrina fait, je n’ai aucun doute la dessus. c’est parfois un doute que je devrais retourner pour m’assurer que tout vas bien qui me fait prendre en main mon billet d’avion pour mieux le ranger plus profondément dans mon sac remplie de document pseudo important.
Parfois j’ai peur de sombrer dans l’excès, la seule chose que tu m’as demandé d’éviter. Je ne suis pas alcoolique, mon excès c’est mon besoin d’oublier, de me sauver vers quelque chose d’autre, de ne plus vouloir me lever malgré les merveilles qui sont au pas de ma porte.
J’ai voulue faire un film sur nos dernière conversation mais je ne sais pas si jamais j’arriverai à l’écrire et a le filmer, c’est trop impalpable le silence qui avait tellement de volonté de se briser mais qui ne l’a pas fait.
Tu n’étais un homme du langage, je le suis. Tu as été un homme d’action, j’essaie de l’être. Je ne sais pas si tu liras un jour cette lettre, je ne connais pas trop le système postal interstellaire, avec un peu de malchance St-pierre vas jouer au facteur.
As-tu entendue les dernières paroles dirigées vers ta petite boite à effets que tu as oubliés derrière toi? Je me demande si j’aurais pu dire plus, dire mieux. Apparemment, les gens ont aimé mais c’est a toi que j’aurais du parler, pas a eux.
Tu as manqué certains trucs, tu as manqué le regard d’une maman inquiète dans l’aéroport, tu n’as pas pu nous dire un dernier avis sur les deux tatouages qui ont apparu sur tes deux monstre.
Tu sais, on dirait que le temps avance lentement et rapidement a la fois. Mon voyage se passe lentement, mais moi je vais rapidement. J’ai l’impression d’être un homme alors que je suis encore un enfant. La dernière leçon que tu m’as apprise a eu tout un effet.
J’ai enfin décidé où aller, on m’a convaincu que ma grande gueule serait utile à écœurer des jeunes du lundi au vendredi avec des vieilles histoires.
Un jour, j’espère être comme toi, je veux que mes enfants soit des Piovesan, la tête haute et le cœur pur, comme leur grand père.
Allez, donne moi de tes nouvelles une fois de temps en temps, je m’ennuie de toi papa.
et voila, simple petit message pour vous dire que je suis toujours vivant.
JE suis à InverNESS, au pied de la rivière NESS, qui mène au loch NESS
Je suis dans un auberge de jeunesse comme toujours, j'ai déja commencer ma recherche d'emploi (recu 1 entrevue telephonique et 1 entrevue reelle ce matin)
ca s'avance bien mais bon, je crie pas victoire avant la première paie.
dimanche 20 janvier 2008
Nous avons tous des peurs de la vie quotidienne que nous refusons d’admettre.
J’ai peur du silence, j’ai peur d’être oublié.
Cela fait longtemps que j’ai admis tout ça mais comme tous, je ne travaillais pas à régler ces problèmes intérieurs. Hors, l’oublie, je crois que mon voyage en lui-même est l’épreuve car a mon retour, je serai soit un illustre inconnu, soit à nouveau membre de mon clan.
Le silence, je me suis mis à l’affronter réellement hier.
Mon rapport avec le silence a toujours été la musique, rassurante et connue. J’ai décidé de l’éteindre, de simplement marcher et d’entendre le monde extérieur. J’ai continué aussi pour mon voyage en montagne d’aujourd’hui.
Et oui, c’est ce que j’ai fait, j’ai monté Glen Nevis, le plus haut sommet du royaume Uni. 2 kilomètre de hauteur, je n’ai pu me rendre jusqu’au pic car les conditions de temps et de lumière coupaient sur les possibilités. Je me suis quand même rendue à 1.3 km de hauteur en suivant les sentiers.
J’ai adoré retrouver le son de la rivière, de l’eau qui coulait dans des digues créer par l’érosion. Je me suis rendu jusqu’aux neiges éternelles, sur le plateau entourant le dernier pic rocheux. Ce fut la limite a mon exploration, me donnant l’occasion de me nourrir (fromage + pain + eau = un repas de gn) et de prendre une lampée du scotch qui me suit partout, surtout car je n’ai nulle part ou le ranger. Ironiquement, j’ai découvert que c’est une cuvé Glen Nevis 10 ans…j’en prends une gorgée, remercie les dieux de m’avoir accordé le fait que les vents ne soient pas meurtrier et que la pluie soit modéré (il a plus 6 fois en 5h) par rapport a son habitude.
Je suis redescendu, ne voulant pas quitter l’endroit malgré le froid qui mordait mes doigts.
C’est donc, sur une note de zen que je vous laisse ce message.
j’ai fait mes adieux, rappeler aux gens de me adder a Facebook, j’ai pris le bus
bizarrement, je ne ressens pas de tristesse ou de joie, peut être due à la fatigue. Je suis à Fort William en ce moment, un petit village. Tout n’est que maisonnée, lac, montagne et vent qui terrasserait une forteresse (tien, justement, il n’y a plu de forteresse ici depuis longtemps). J’ai donc accosté après 5h de navigation sur mon écran et au hublot qui me fit découvrir les Highlands.
Je suis fatigué, mes pieds ont décidé de me porter vers 7h après les cris de détresse du cellulaire. J’ai visité le village ante et post couché de soleil. Le village en lui-même ne semble pas démontré d’histoire extra ordinaire, il est moderne et quelque peu fade. Je ne lui en veux pas, comme les highlanders, moi aussi j’aime avoir une maison confortable qui résiste aux tempéraments de madame nature. Ce village n’est qu’une porte, un passage. Je passe ma soirée à décider ce que je ferai dans les prochains jours. J’ai déjà réservé 3 nuits à l’auberge, dans la suite héros écossais, dans le lit Robert the Bruce (ouais, j’ai un lit de rois).
Tom, mon souffre douleur et compagnon de voyage pour l’instant, a déjà commencé à travailler dans un McDonald. Je ne veux pas le suivre, je garde mon intégrité et ma barbe.
J’envoie des cv, je prends du temps pour voyager, je vais essayer de voir si ca se fait de faire du pouce ici, le manager de mon ancienne auberge à essayer de me convaincre de pas essayer, j’ai rien à perdre sinon marcher 20 miles.
Ici, je suis près de la plus haute montagne de toute la grande Bretagne. Je vais donc la monter, surement demain si tout vas bien et si les chemins sont encore ouvert malgré le vent. Assé ironique d’un peuple qui porte tradionnellement une jupe vive dans un endroit aussi venteux, yen as qui sont trop fier de leurs attributs des fois on dirait…. Ici l’internet est pas mal payant, ya des réseaux sans fils mais je ne pense pas qu’ils appartiennent a l’auberge, et s’ils le sont, ca vas me couter de l’Argent, je vais donc couper la dessus, surement apparaitre en soirée (en fait, soirée pour moi, après midi pour vous).
Tien juste comme ca, vous saviez que le train de Harry potter, il est filmé dans la région? Ben oui, mais il est fermé a ce temps ci de l’année, je pourrais pas prendre le train 7 ¼ (c’est tu ça son maudit chiffre batard? Moi je lis pas ça des livres pour enfant). Bon, malgré ma fatigue qui me mène a ce blues, je me dis au moins que je vais faire de quoi des mes 3 prochaines journée et après ca on verra.
Il reste environ 100 jours a mon voyage, en espérant que ce soit les meilleurs 100 jours de ma vie
Je suis arrivé ce soir a Edinburgh pour apprendre que j’ai perdu l’emploi a l’hostel, mon remplaçant s’est fait kicker dehors de l’hostel carrément.
Je ne suis pas fâché, en fait je m’y attendais tellement et maintenant, je n’ai que des raisons de me pousser a Fort William.
L’univers a dit : ne perd plus ton temps la, voyage.
Je pars donc avec Tom, mon chummy Aussie, pour Fort William Vendredi. Il était parti a Glasgow et est revenu peu avant moi.
En espérant que cet événement, c’est du vent dans les voiles et non une encre dans les poches. Le vaisseau de ma vie prend une nouvelle direction, une partie de l’équipage reste a terre, d’autre seront engagé a la prochaine étape.
Et bien oui! L’Allemagne n’a pas eu raison de moi! J’ai survécu a l’ancien Saint empire de Bismarck *le pimp de l’Allemagne ante Nazisme*
J’ai été hébergé par Gabriel, un ancien collègue de travail a Mourial avec qui j’ai développé une bonne entente. Lui est devenu Allemand et moi Écossais, tous deux descendants de la Saxe. A mon départ de Londres, j’ai eu un vol directement pour Bremen, la ville ou vie ce saxon Blond aux yeux bleu adepte du swing et des podcast napoléonien *oui oui ça existe Buck, des discussions à downloader sur Bonaparte*
A ce duo se rajoute une autre aventurière, damoiselle Guenevievre surnommé Gen. De son air beaucoup plus Gaélique que moi, elle est un vent de nouvelle de notre terre natale. C’est elle qui est venue me chercher a l’aéroport puisqu’elle avait un peu d’avance vue ma volonté de visiter Londres (et d’avoir des billets d’avion beaucoup moins cher!)
Première journée tranquille, nous visitons l’antre de l’intellectuel Allemand qui m’héberge. Il est maintenant entouré d’un chien, d’un enfant et de deux demoiselles à qui appartiennent les 2 premiers. Voulant aller prendre une bière, nous contactions Mel, une amie française de l’intellectuel. Celle-ci nous traine dans un pub Irlandais, le Paddy (paddy est une insulte venant des Anglais vers leurs voisins de l’ouest. Cette expression est devenue une auto description des irlandais entre eux depuis, comme plusieurs autres notions péjoratives chez les peuples conquis). Nous y prenons une bonne bière allemande, un cidre (le même que je bois la plupart du temps a l’hostel pour une fraction du prix) et une bière irlandaise. Nous retournons tranquillement et tentons d’avoir un peu de sommeil réparateur (quelle bonne blague, je ne dors jamais).
Deuxième journée, nous nous transportons par train vers Hildesheim, un petit village typique allemand pas trop loin de Bremen. L’endroit est magnifique, ancienne fortification se marie à plusieurs églises et bâtiment typé allemand suisse. Il est à noter que les derniers, avec les divers centenaires qu’ils ont derrière la cravate, commencent à s’écrouler, l’extérieur démontre une dénivellation dans les étages. Si on ne peut plus compter sur le bois pour survivre a la région la plus marécageuse du continent! Nous avons découvert la plupart des endroits de la vieille cité par un parcour de roses longeant le sol. Celles-ci ayant surement un concept en lien avec l’histoire du pays (ou le fait qu’il semble y avoir plusieurs rosier entourant les entrées des vieux havre de paix) après une marche de plusieurs heures et une pause pour alimenter de peur et de poivrons des canards surfant sur une petite rivière dans un parc (Gabriel se faisait un malin plaisir a effrayer les oiseaux tandis que je leur lançais des légumes)
Troisième journée, Hambourg fut notre destination, Gabriel insistant que la ville plus moderne se devait d’être vue car reconnue mondialement. Ce fut un moment de marche ou je pu revoir une amie datant de la lointaine époque ou je vivais parmi les Lowlanders. Malin, la Germaine germanique habitait dans un village pas trop loin, elle est donc venue nous rejoindre. N’ayant jamais elle-même visité la ville (mais comment lui reprocher, personne ne visite sa propre région, moi-même je n’irais pas me perdre a Laval…) elle nous a suivis dans notre ambition de nous perdre pour trouver de petits bijoux d’Architecture. Nous avons pu voir une statue géante de Bismarck, pimp Germanique, à l’épée et au bouclier. J’ai été trainé jusqu'à une rue apparemment célèbre puisque seulement accessible pour les hommes. Gabriel et moi avons donc paradé dans cet univers de vitrines remplie de prostitué un peu trop âgé pour moi, lorsque tu te souviens de l’âge de pierre, ne te dévoile pas en sous vêtement dans une vitrine en criant après les passants. Après cette expérience nous avons ensuite rejoins Aurélie, une collègue de Gabriel travaillant a Hambourg justement. Après de multiple discussion entre l’Allemand, le français et l’anglais, nous nous séparèrent car certains travaillaient, d’autres avaient rendez vous avec la famille et moi, j’avais faim.
La pensée du jour est donc volée à ma petite sœur : Was is das? Dit l’allemand fou celle-ci est aussi en voyage, mentionnons donc le fait qu’elle ne lira que tard mes aventures teutonique puisqu’elle se dore au soleil Cubain.
Je tiens à mentionner que les mots que je connais en germain sont : Danke (merci), Bitte (de rien), Gutentag (bonjour) et je ne connais aucun numéro, je suis donc assé désemparé si l’on me demande d’acheter quelque chose par moi-même, par chance, l’anglais est très courant ici.
Je suis en ce moment en route pour Berlin, ville ou je serai jusqu'à dimanche soir. Pour nous éviter plusieurs frais, Gabriel, expert de la compréhension ferroviaire, a trouver que lors des fin de semaine, les ticket sont a rabais lorsqu’il s’agit de landesticket, billet utile pendant une journée dans une seule région de l’Allemagne, 3 ticket pour traverser 3 régions revient a moins cher que le ICE ou TGV en français. Le seul problème est que notre trajet prend 5h au lieu de 1h30. Cela nous permet donc de prendre notre temps pour disparaitre dans nos bulles respectives.
Il est a noté que le train passe par tout les foutue bled sur son chemin, donc des arrêts de plus en plus trou, surement que la toune de RBO serait de mise. Nous passons donc à travers 3 régions pour la bataille finale euhhh notre dernière étape touristique.
Berlin est une ville énorme et bien sur, je ne pourrai tout voir. Nous avons placé notre priorité sur le tour du camp de concentration le plus près, un musée de statue gréco romaine (pour remplacer le fait que Jai manquer le British Muséum). Je suis armé comme toujours de mon appareil, je me forcerai pour vous en ramener 400 de la ville :p J’aime bien ce que j’ai vue de l’Allemagne mais je reste encore amoureux des lands de ma petite ile ou je vie. J’avoue avoir hâte d’y repartir pour débuter mon aventure a travers ces terres conquise par le peuple qui m’a adopté. Il y a plus de similitude dans l’apparence des villes entre l’écosse et l’Allemagne. Les gens s’achètent des cabanons hors des villes pour avoir un peu de gazon, il n’y a plus de terrains non habité, je n’ai pas vue de terrain qui n’était pas défriché malgré mes aventures sur les divers trains du pays.
Berlin 1.0 Je suis toujours en vie malgré que j’ai du côtoyer des milliers de morts. Je ne parle pas bien sur du fléau appelé Burger King (très populaire en Allemagne) mais du Camps de travail et devenu par la suite camps de la mort, le Sachsenhausen. Ce camps fut le model de la plupart de ceux que l’on connait.
Et non, je n’ai pas été a Auschwitz pour une bonne raison, c’est en POLOGNE. Ce camps a été sous control Nazi, Soviétique et maintenant vie de l’argent des visites guidés et des dons. Pour expliquer simplement, le camp fut à l’ origine utilisé pour enfermer les prisonniers politiques, les homosexuels et les communistes. C’est avec le temps que Les témoins de Jéhovah, les Juifs et tous religieux s’opposant au régime fut placé. Les tests sur les gaz, les exécutions a coups d’arme a feu, les tests médicaux, tout a eu lieux la.
L’entrée elle-même démontre la volonté d’exploiter ceux qui y entre. Abbeit Macht Frei, Le travail rend libre, le travail mène a la seule liberté possible, celle de cesser de respirer. Dans ce camp, les gens y ont fait des bottes, de la menuiserie et ont servis de serviteurs aux SS habitant l’endroit et ayant l’entrainement. Car oui, c’était l’endroit ou les SS de Berlin étaient entrainée (une partie est encore utilisé pour entrainer la police Berlinoise)
la plupart des baraques ont changé depuis la fameuse ère que tous redoutent. Certains ont été rénové, d’autre fabriqué a partir des ruines de ce qui y était déjà. Il y a peu qui peut être dit qui ne l’a pas été par vos cours D’histoire, vos lectures et l’horreur que vous pouvez ressentir face a ce que ces gens ont vécu. La plupart des gens sont mort d’épuisement, de faim et de maladie, rare ont été les séances de Gazéification la bas. Il est étrange de voir que certains avaient en espoir,’’ 1945 : seras-tu l’année de ma libération?’’ des hommes et des femmes ont vécu des années comme esclave, comme des sous hommes, des prostitué, des cobayes….
les histoire de test sur des hommes, c’est de ce camps qu’elles arrivent, le médecin en chef, qui ne soignait que ceux qui n’étaient ni juif, ni gypsie, ni homosexuel, acceptait les dit derniers lorsqu’il voulait savoir les effet de ses expériences sur des créatures qui n’étaient pas Aryen. Il a tenté de les transformer en Aryen en leur infectant de l’encre bleu dans les yeux, tenté de guérir la gangrène sur des patients vivant et voulu enrayer la fertilité de tout homme qui passait et ensuite lui rendait les deux petits objets dans une jarre….
puis 1945, Himmler (a moins que je me trompe) et ses hommes décident d’emmener le plus de sous homme possible a ce camps pour s’en débarrasser et d’éliminer les preuves avant l’arrivée des Alliés. Il a donc mené des centaines, voir des milliers de ces gens déjà a moitié mort vers ce camp. Pour la plupart, avant leur arrivée, le verre n’était ni à demi plein ou vide mais complètement vidé de son essence…
lorsque les Alliés sont arrivées, nos amis rouges, ils ont découvert 300 gens mort dans les camps, de fatigue…ils étaient arrivée 1 semaine après la désertions du camp.
Mais l’histoire n’arrête pas la
jusqu’en 1950, les soviétique ont utilisé le camp pour se débarrasser de nazi, de traitres a la nation (il est marrant de savoir que le fils de Staline y est mort en 1945, 1 mois ou un peu plus avant l’Arrivée des troupes de papa).
1960….le camps devient objet de propagande….les rouge dénoncent le camp pour toutes les tragédies perpétré par les Nazi. Des statue d’homme fort libérés sont créé, des symboles des esclaves sovietique sont montrés partout mais ont oublie tous les autres…..
1990…l’histoire change et ont apprend la vérité…encore il y a quelques mois on a trouvé un fossé avec 12000 corps enterré un peu plus loin, et ceux-ci ne datent pas de 1945….
j’ai encore des frissons de la clinique du docteur Von terreur, l’odeur d’hôpital, la civière en céramique, les anciennes fosses….c’était trop….même pour moi.
Le reste de ma journée? Magasinage avec Gen et ensuite, ont fait quelques pubs, j’ai besoin d’avoir un point positif du reste de la journée.
Berlin, la fin
bon, nous sommes dimanche et je suis en ce moment dans l’un des trains qui vont me ramener à Brème. Mon aventure a continué après la visite du camps de travail, on m’a trainé à un Pub Crawl. Mais qu’est-ce qu’un pub crawl? C’est une activité utilisé pour te montrer les bar et pubs les plus populaires de la ville. Nous avons commencé dans un ancien bar de squatter, appelé le Zapata. Bâtiment désaffecté, musique tzigane, dragon de métal crachant le feu. Nous avons reçu de la bière gratuite dès le départ (en fait avant même de se rendre au point de rendez vous, l’une des membre a été nous chercher a notre hostel (le generator) et nous as fait caller de la vodka tout le long du trajet en train (c’est légal de boire dans les transport en commun ici). Nous sommes restés 1h dans le bar et la seconde ou je m’apprêtais à avoir un shot de vodka, 2 amie sont apparues. Deux filles, Carrie et Noel, deux filles de Seattle, me saute dessus. Nous étions sortis dans les bar à Edinburgh (elles étaient restées 3-4 jours à mon auberge). J’abandonne temporairement Gabriel et Gen pour me tenir avec elles (c’est eux qui ont décidé que je devais charmer une damoiselle ce soir la). Nous avons donc continué vers un club plutôt quelconque (pour danser) et ensuite un autre. Par chance, la plupart des gens de ma chambre d’hôtel sont au pub crawl et avons tous décider au dernier bar de repartir ensemble (2 couples ont disparu en chemin bien sur) pour nous retrouver dans un Burger King (maudit que j’aurais préféré une poutine âpres tous l’alcool ingurgité par votre pseudo écrivains). Après discussion sur les Us (Carrie et Noel ne m’ont pas suivies, elles sont resté à danser, je maudis le fait que je m’endormais debout), l’Afrique du sud et le Québec, tous décident de retourner en dormir et notre sud africain-danois (ca existe!) crie tous le long PUB CRAWL, le cri pour attiré les participant mais peut être mal choisie a 4h du mat…a l’intérieur de l’hostel. Lendemain matin, personne ne s’est levé
vers 11h, Gen et moi se sommes forcé a nous levé et a faire le tour de Berlin avec un tour gratuit (fait par les mêmes qui font le pub crawl). Nous avons donc visité sommairement le Berlin touristique avec un fond d’histoire Prusse, nazi et soviet. Très intéressant, j’ai adoré mais les photos parlent plus que ce je pourrais raconter en mot encore une fois, nous avons vue les palais, l’université, l’opéra, l’ile des musées, le mémorial a la mort des juif assassiné d’Europe (c’est le nom du mémorial), le Branderburg Tor (la porte de branderburg, un bâtiment datant du monde Prusse avec une statue de la victoire regardant vers l’ambassade de France, et cela date de la 1ere guerre mondiale en rapport a un vol fait par napoléon, gardons ceci dans les histoire que je raconterai devant une bière a mon retour.
En revenant du tour, Gab viens nous rejoindre, et nous propose d’aller a l’opéra.
Vous vous dites ‘’budget comme il est, il n’est pas allé ou il est rendue dans le rouge!’’ ben jsuis dans la rouge mais ca coutait pas cher et Gab m’a payé le billet (12 euro chaque pour assister a l’opéra de Berlin avec des ticket de dernière minute). Nous avons donc vue Le nozza di Figaro (chanté en italien et sous titré en Allemand, je crois avoir plus compris de l’italien! Mais bon, je commence à reconnaitre des mot en Allemand).
C’est donc la deuxième pièce musicale en moins de deux 2semaine que je vois pour pas trop cher, dans tes dent opéra de Montréal trop cher!
Le lendemain, Gabriel a vaqué a ses occupations, Gen et moi avons été voir le musée de l’art Grec et romain de Berlin. Magnifique! En fait, ils dépassent un peu leur mandat, il y avait de l’art Babylonien (dont l’une des porte d’Ishtar! Reconstruite!), de l’art moderne de lithographie (vraiment cool) et un temple grec reconstruit racontant une guerre des dieux en statue tous le long des murs, malheureusement ce temple fut excavé et plusieurs statue ont été retrouvé endommagé, voir avec une seule main de la statue encore présente…
après ces aventure dans le temps, j’ai dégusté ma dernière bière a Berlin. Nous avons retrouvé Gabriel et marché vers les stations de trains. Mon train était a 6h et celui de Gen a 11h (elle se rend a Francfort pour prendre ses vols)
j’imagine que je devrais faire une sythes générale de Berlin. C’est une cité au passé victorieux (pensons a l’empire Prusse) qui après une grande défaite (WWI) a suivis de mauvais chemins (Nazisme, Communisme) et cela teinté l’histoire et les batiment. Le guide de Berlin lui-même le mentionnait, les Allemand sont l’un des rares peuple a reconnaitre officiellement le génocide qu’ils otn commis, et ce avec honte. Or, cette honte se voit des kilometre a la ronde, mémorial, batiment communiste ou désafecté, parfois les deux, jonche la ville et lui garde cette impression que l’on as d’un uinivers noir sans espoir. Le palais Communiste est en déconstruction pour laisser place a une copie du palais Prussien. La plupart des monument sont des reconstruction Cheap sovietique, certains murs extérieur de l’opéra ressemblent à du stuco, Check point Charlie est encore en plein milieux d’une rue, Les Allemands se prennent pour des américains, ils mangent et parle comme eux. Les berlinois ont pas mal perdue qui ils étaient, redoute qui ils ont été. La ville est très cool, on peux passer de modernisme a hyper ancien en 2 coins de rues, voir des maison typiquement soviet, un bureau des taxes situé dans l’anciennne batisse de la flotte aviaire (j’aime bien m’imagine des poulet nazi qui bombarde d’œuf le reste du monde) Allemande qui est l’un des rares monument nazi qui n’a pas été rasé a coup de fierté russe. Je ne vivrais pas dans une ville comme celle-ci, mes convictions et mon empathie pour tout ce qui a souffert la bas ne me le permet pas.
vous vous demandez ce qu’il me reste de mes aventure en Allemagne? Visiter Brème et retourner chez moi. Il commence à être temps que je trouve un emploi pour la mi février au moins. L’Allemagne a tué un peu mon budget mais bon, je capote surement car j’ai pas accès au web pour voir mes finances haha.
Tout ca pour vous dire que David Hasselhof a sauver le monde du Communisme, priez pour lui et regardez Baywatch ainsi que Knightrider religieusement.
je suis de retour a l'araignée mondiale, j'en ai été coupé lors de mon voyage a lugdunum. voici ce que j'ai écrit durant ce temps:
Au moment ou je vomis ces mots dans ma boite a zero et un, je suis arrive a mon hotel a Londre. Je vien de passer une journée horrible a me faire trimballer tel un colis de Fedex (ou ups si vous préféré)
13h : je finis de travailler 13h15 :j’essaie d’acheter les kilt des 2 phillip (en vain) 13h50 : j’embarque dans l’autobus qui me mène au terminus de bus de Glasgow 15h25 :j’arrive au terminus 15h35 : je prend le bus pour l’aeroport de Prestwick 16h15 : j’arrive a l’aeroport, enregistre mon billet 18h40 : j’embarque dans mon avion ou on es tassé comme des sardines (c’est ca les vol a 10 pounds) 19h55 : j’arrive a l’aeroport de Stansted a Londre 20h20 : je prend un un stagecoach pour me rendre apparement proche de mon hotel selon les indication du kiosque d’aide 22h10 :j’arrive dans le centreville de Londre et je suis pas pantoute proche de mon hotel 22h30 : je prend le underground (ligne Jubilee 7) jusqua la station London bridge 23h : j’arrive a London bridge et prend le train pour me rendre a ma station 23 :15 : le train part 23h45 : j’arrive a Crystal Palace 24h : j’ai marché jusqu'à mon hotel 24h01 : je trouve la place miteuse, j’essaie de changer ma reservation en vain. 24h15 : j’appel ma mere pour donner de mes nouvelles et decompresser en parlant francais 24h30 : je retourne a l’hotel et paie le foutue dortoir 24h35 :apparement je suis seul dans mon dortoir 1h01 : je finis d’ecrire la description
ya pas d’internet, jai donc aucune idée de quoi visiter demain, yé, ya aucun pamphlet, je vais surement aller a london bridge demain et chercher un kiosque touristique.
en tous cas, Londre commence bien : je suis dans une banlieux miteuse (j’étais sérieusement inquiet de me promener seul de nuit).
24h plus tard : je suis un peu plus positif depuis
j’ai passer la journée a me promener de 11h a 24h dans le centre de Londre (en comptant mon transport). J’ai donc vue le pont de londre, la tamise, la tour de londre (qui est en fait une forteresse), le parlement de Westminster (avec le fameux Big ben) et ….SPAMALOT
j’ai donc pris le train pour me pointer a la station la plupres, soit London Bridge. J’ai suivis a pied la tamise jusqu’au pont le plus près. Je l’ai traversé et trouver une forteresse qui se trouvait a etre la fameuse prison…qui n’est pas une prison! J’ai fait le tour guidé et assé souvent il nous a été rappelé que même s’il y a eu plusieurs prisonier politique (500 au total) qui ont été éxécuté, cela a aussi été la demeure de roi pendant plusieurs siècles.
j’ai donc vue ce qu’on Anne Boleyn, William Wallace et Sir Isaac Newton on en commun, la forteresse!
j’ai passer 3h la dedans a me promener, je n’ai pas vraiment de photo car c’était plutôt un musée qu’un endroit recréant son ancienne utilité. Je n’ai acheté qu’un seul souvenir, une bière de recette historique : the historic royal palace’s Real Ale.
j’ai ensuite marché au hasard, pris la décision stupide de prendre un autobus au hasard, qui m’a mené au Trafalgar Square, ou j’ai marché jusqu'à trouver Westminster, le parlement Anglais. Bien sur, il se faisais un peu tard et je n’ai pris donc que des photo de Big Ben, puisque ben, c’est ce qui m’interesais. J’ai aussi trouver une statue de Churchill faché avec de la lumière bleu verte, on aurais dit un hulk-Churchill! Churchill angry! Churchill SMASH! GRRRRR
après ce court instant de folie, je suis allé manger dans un pub ou j’ai essayer une bière Londonaise (???) la Fuller’s London Pride! Et j’ai manger mon premier steak en 2 mois :p
après mon repas, je me décide a trouver le theatre ou se passe spamalot, voulant me payer un billet pour le lendemain. J’achete une carte excplicative de Londre, je trouve l’endroit (le Palace Theatre) et remarque que c’est a 2 pas de l’endroit ou je suis! Je passe a travers le broadway londonien et trouve l’endroit, je remarque que les gens entre tranquillement, je vais a la billeterie et le show commence 40 min plus tard. Je décide d’acheter un billet cheap (15 pounds), me procure un disque et un macaron marquand ‘’Run away!!!’’
en passant, ceux qui ne connaissent pas spamalot, je vous donc une explication breve : dans les année 70 est sorti un film du collectif Monty Pyhton et celui-ci a fais le tour du monde, devenu un film culte que les gens de ma génération (particulierement les gens qui font des gn) adorent. Ce film est ‘’Monty Python and the Holy Graal’’. De ce flm est sorti il ya mois de 4 ans (enfin de mémoire) une comédie musicale a partir de ce film. Bien sur, apparement les gars de Monty Python ont contribué a la production.
dans la version originale, Tim Curry (dr Frank n furter dans le Rocky Horroc Picture show, le clown dans le film ‘’it’’ que jai mentionné en novembre dans mon blog et qui a jouer dans plusieurs autres film (je me souvien de lui qui joue un portier dans maman jai rater l’avion a new york) joue le Roi Arthur, mais malheureusement pas dans la version que j’ai vue. C’était Génial et sérieusement, c’est ce qui ma fait le plus trippé de ma journée (j’avais l’idée depuis longtemps de commander un dvd de la piece pour la voir mais mieux, jai vue LIVE).
demain je vais faire un peu plus de photo puisqu’aujourd’hui mon appareil a manquer cruellement de batterie assé tot dans la journée, j’ai donc du jouer a l’economie en prenant le moins de photo possible.
je suis de retour plus tôt aujourd’hui car les ampoules ont envahi le plancher de mon être. Je marche tranquillement car mon genoux a décidé de s’y mettre aussi (on dirais que mon corps ne veux pas que j’avance). J’ai commencé ma journée par une grasse matinée, me levant a 13h (ce qui est exceptionnel depuis au moins 1 mois), j’ai donc déjeuner dans un resto chinois du coin (étant logé dans la banlieux, c’est moins cher que le centre ville pour manger). J’arrive a la station de train et découvre qu’elle est fermée ce dimanche, travaux d’agrandissement oblige! C’est bien mon jour! Je m’essaie a la station d’autobus pour voir s’il y a un bus qui pourrait me mener a une autre station de train, le kiosque d’information m’apprend que presque tous leur bus finissent dans le central London! ARG!
il m’apprend aussi que je peux me prendre une passe d’une jourée pour l’équivalent d’un aller de train et que j’aurais transport illimité cette journée! Génial! Mais le seul endroit qui m’indique qu’ils en vendent a eu une panne de couran le jour d’avant et toutes les machines sont déréglés! Je prend donc simplement un billet et un redbull.
je prend le bus qui me mène a Westminster, voulant voir le parlement de jour. Étant dimanche tout est fermé, je ne peux donc pas visiter l’intérieur (pas grave, j’ai trop dépensé le jour d’avant, quoi que j’aurais voulu voir le British Museum). Je me promène donc dans les environs, je fini par aboutir a Buckingam Palace.
pour être franc, le fameux château de la madame qu’on retrouve de l’autre coté des orignaux et des castors est pas mal dull. Très sobre mais ayant de très belles statues en face et sur les barricades grillagée avec des barbelés, ou la cloture familiale si vous préféré. En passant, quel est le nom de famille des brit au sang bleu vivant dans ce château?
je me suis ensuite promené a droit et a gauche. J’ai décidé de revenir tot car je doit me lever tot pour prendre le train et l’autobus pour ensuite prendre mon vol.
je finis donc mon voyage avec des ampoules en prenant une bière dans mon dortoir (j’ai 6 lit a moi tout seul)! Une bière Indienne : la Cobra.
Clan Chattan. J’ai pas a vous dire que c’est un Clan en écosse mais ce que je peux vous apprendre, c’est qu’ils ont perdu beaucoup d’homme durant la guerre Jacobite causée par Bonnie Prince Charlie, un prince française en exil qui a monté une rébellion pour prendre contrôle de la grande Bretagne…en vain.
