mercredi 30 avril 2008

ceci est Beltane

Vue la curse mentionnant que je ne reviendrai peut être pas vivant au QC, j'ai décider de ne pas raconter mon Beltane, de garder ca pour notre rencontre.

allé, on se rejoint de l'autre coté



guardian by ~hysk on deviantART


warrior of fire by ~hysk on deviantART


flame of darkness by ~hysk on deviantART


the Beauty from the water by ~hysk on deviantART


Beltane by ~hysk on deviantART

mardi 29 avril 2008

again

encore une fois, M (que mainteant se trouve dans ma liste de lien a votre gauche, fouillez un peu) à placé sur son blog une liste en lien avec la musique hasardeuse. voici mes résultat, qui font assé peur, prouvant qui faut vraiment que je fasse un menage de ce que j'ai a mon retour, j'ai tellement de truc random que j'écoute meme pas la dedans....


Générique d’ouverture : deux par deux rassemblé –Pierre Lapointe
Conception : blood in face –Suicide Commando
Naissance : 1969-Board of Canada
Rencontre de la famille : from fullmoon to sunrise –infected mushrooms
Petite enfance : year zero-Nine Inch Nail
Premier jour d’école : Fat Bottomed girl -Queens
Musique de la récréation : ministry of Angels – Infected Mushrroms
Entrée au secondaire : burn it to the ground – Donnie Darko soundtrack
Rencontre du meilleur ami : I want to conquer the world – Bad religion
Premier amour: Black Fairye- Therion
Premier party: Frailty – Little Nightmare
Première peine d’amour: another one bites the dust - Queens
Graduation: subtenearean homesick alien – Strung out on Ok computer of radiohead
Entrée dans la vie adulte : half day closing –Portis Head
Premier emploi : one step beyond – infected mushrooms
Retrouvaille avec un ancien amour : do you want to – Franz Ferdinand
Rencontre de l’amour : injected paradise -Pain
Fiançailles :
Rencontre de la belle famille : four horsemen of 2012 -klaxons
Mariage : do it again – Queens of the stone age
Première maison : humming-Portishead
Naissance d’un enfant : outro –Nine Inch Nail
Vie familiale : Faraway vol2 – Apocalyptica
Devient grands-parents : the boning of men -???
Flash-back : Down The Qliphothic Tunnel II -therion
Philosophie de vie : traumerei dreaming –Joshua Bells
Chanson de combat : Alienating our Audience –Mindless self indulgence
Perte de la santé mentale : Head like a Hole – Nine Inch Nails
Perte d’un être cher : electionering –Strung out on Radiohead
Colère : keeping with the kids –Mindless self indulgence
Tristesse : get up, Punk! 0200hrs -General Patton vs the executioners
Joie : more –Sister of mercy
Solitude : the metal –Tenacious D
Impatience : generation executate -Lard
Peur : dirty 80’S-Infected mushrooms vs psysex
Printemps: sunshine recorder –Board of Canada
Été : the Hand that feed –Nine Inch Nails
Automne : I’m your problem now –Mindless self indulgence
Hiver : non stop violence –apoptygma Berserk
Noce d’or: coma -Apocalyptica
Dépression: pedestal -portishead
Crise d’ados : throught being cool - Devo
Repas en famille: carrying cathy – Ben folds
Soirée entre ami(e) s : It’s my life – No doubt
Noël : you know what you are - Ministry
Jour de l’an : promise land – Chuck Berry
St-valentin : inspection wise 1999 – the Hives
Pâques : the History of Tenacious D –Tenacious D
Halloween: orange acid –infected mushrooms
Anniversaire de naissance : In search of I – Sonata Arctica
St-jean: this is not a scene, its an ar – Fall out Boy
Fête des mères : shakawkaw – Infected Mushrooms
Fête des pères : title 10 – absurd minds
Combat final: Sirius B-therion
Agoni : welcome to Dunvegas-morning dew
Musique funéraire : drop out –infected mushrooms
Générique de la fin : uncle Johny – The killers

vault and ghosts

Edinburgh est par définition, la ville ayant le plus grand nombre de cas documentés de poltergeist, d’histoire de fantômes et de légendes en Europe.

Je n’ai jamais pris le temps de vous le mentionner, car moi-même n’ayant jamais pris le temps de m’informer, étant dans une course aux fées et aux Highlanders. Ayant quelques jours à ma disposition, j’ai donc décidé de découvrir les histoires d’Edinburgh que j’ai repoussé de la main par manque monétaire lorsque j’étais un habitant de cette ville.

Le royal Mile, la partie historique de la ville, date d’au moins 600 ans. Oui, 600 ans, même plus car la ville s’est créer en créant des étages supérieurs aux bâtiments déjà présent. Avec le temps, le sol est devenue le 8e sous sol, et ce sans exagérer. Vous pouvez retrouver des rue complète médiévale ayant survécu à la modernisation, aux guerres, et à la peste.

Certaines de ses rues sont visible de l’extérieurs, ce sont les ‘’closes’’ que j’ai souvent pris en photo, je les croyais de simple ruelles alors que c’étaient les rues piétonnes des Scots. Il y a plusieurs tours qui proposent de voir ce qui sont devenues les caves et les sous terrains.

Le premier endroit que j’ai visité ce nomme Mary King’s Close, soit la meilleur préservation. Une ruelle de 5 maisons de 8 étages complètement sous terrain. Ces bâtiments ont vécu la peste, la mort de la monarchie Gaélique, pour virer en cave et en lieux de Storage. Ce n’est qu’il y a quelques décennies que ce fut rouvert en tant qu’attractions nationale.

Les histoires de fantômes commencent bien après la mort noire qui a vidés les rues. Lorsque les gens ont recommencé à populer les villes, les maisons laissées à elle-même furent une par une reprise. Plusieurs histoires de ces nouvelles familles ayant des visions de gens dans le pas de la porte, de cris, de chandelles qui meurent sans raison, de jet de lumière.

On dit qu’on peut encore voir des apparitions, j’avoue que cela m’étonnerais vue la tonne de touriste qui se pointe la.

Je n’ai pas de photos à vous montrer, car elles étaient interdites, en plus qu’il fallait payer pour une photo de groupe, yeah right…

Cette visite fut faite en plein jour.

J’ai ensuite attendues quelques heures pour faire un autre tour, celui d’un cimetière MAIS le guide c’est jamais pointé, j’ai donc viré mon regard sur l’un des autres tours (il y en a environ 5 sur la même rue). Il y en avait un qui nous menait dans un cimetière et dans un sous terrain, je l’ai donc suivie.

Croyez moi ou pas mais j’ai entendue quelque chose de pas nette. Je crois que j’attire ce genre de trucs, pas les fantômes, juste attirer l’attention des guides avec mon t-shirt de squelette et ma tuque (oui je porte encore une tuque). Je fus donc assigné a être le dernier et m’assurer que personne reste derrière (je suis tellement celui qui aurait voulue rester cacher pour prendre des photos quand tous partent).
J’ai pris quelques photos mais sans trépied (je l’ai oublié, ARG) qui sont floue et je n’ai pas de poltergeist en banque ;)




Donc, ce que j’ai entendue, lorsque j’étais dans l’une des premières salles du sous terrain, j’entendais des goutes d’eau, normal. Mais à un moment, c’est le bruit d’une roche qui tombe, Hors, il n’y a rien qui peut tomber, ce ne sont pas des cavernes et ya pas personne derrière moi. Ca sonnait comme quelque chose de lancé. À vous de penser ce que vous voulez. À savoir que je tremblais comme une feuille, comme dans le camp de travail de SacsenHausen.



Nous finîmes dans le cimetière qui était un peu plus calme, se concentrant sur des histoires du parlement et de cannibale, que je vous garde pour mon retour imminent.

Je fini la soirée en allant prendre une pinte avec l’un des gars qui a assisté au tour, j’ai recroisé des gens du Ebh. Une bonne journée. Ce soir je retente de faire le tour que la personne s’est pas pointé.

samedi 26 avril 2008

Sunny afternoon

Me voici de retour à Edinburgh, depuis le temps que j’y rêvais.

Que demander de plus que mon arrivée d’Aberdeen gris, nuageux et pluvieux à Edinburgh, ensoleillé, en fleur partout et remplie de parcs.

Je loge en ce moment chez une amie, Kate, avec qui j’ai déjà eu quelques escapades comme le jardin botanique d’Edinburgh. Elle m’a proposé de me laisser dormir sur son divan 2 jours, que j’ai bien l’intention de prendre tout ce temps pour relaxer et avoir un endroit moins bruyant qu’une auberge.

Après m’être délaisser de mon sac qui doit faire la moitié de mon poids au minimum, je me suis mis en marche (et en autobus) vers le centre ville pour voir si je ne pouvais pas échanger mon manteau contre un mourning coat dans la boutique ou j’avais trouvé mon kilt lors de mon passage.

Malheureusement, je n’ai pas un manteau datant des années 50 et plus vieux. J’ai donc du garder ce manteau qui as été un fardeau pendants mes semaines de backpacking.

En sortant, j’ai trouvé une boutique de livres anciens. Je crois qu’il est inutile de savoir ce que j’ai fait, je me suis rué à l’intérieur pour y trouver un livre qui ferait mon bonheur. Et j’ai bel et bien trouvé : scènes et légendes du nord de l’Écosse par Hugh Miller.

De la, ayant le soleil qui m’entourais, je me suis laissé déambuler à travers le Royal Mile, et j’ai fini par aboutir à mon ancienne auberge, le EBH. J’en ai profité pour aller voir si j’avais du courrier, si l’on se souvenait de moi et apparemment, oui. Les gens étaient contents de me revoir. Étonnant.

Je leur laisse mon numéro de cell, ne leur dit pas que je vais loger bientôt chez un compétiteur, préférant mentionner que je suis en ce moment à l’appartement d’une amie.

Mes pieds me dirigent vers un parc, mes doigts caressant les pages du recueil, mes yeux ont absorbés les mots. La faim me ramène sur terre après quelques minutes, j’en profite pour retourner voir Jenny, la coloc de Kate, on regarde la fin d’un film de fille (ben quoi, c’est elle qui as le contrôle et je voulais m’écraser sur le divan) et un épisode d’une série tv. Un autre de ses amis se pointe, je décide d’aller profiter de la soirée pour me promener.

Un verre de cidre et un ciel rouge entoure Edinburgh. Le rouge laisse place au bleu qui finit au noir. La vue est belle, la cité est belle.

Une belle journée, en espérant que cela soit signe des derniers jours de mon voyage.

vendredi 25 avril 2008

Vous allez être content, je ne vous sort pas de pseudo morale mais bien vous parler de vie, d’eau et de tout ce qui se relie.

Je parle bien sur de l’eau de vie, le whisky.

Dans les deux derniers jours, j’ai passé des heures et des heures dans des autobus inter villages pour visiter quelques distilleries de la région. Sachant qu’Aberdeenshire est réputé pour sa tonne de distillerie.

Je devais en visité 2 le première jour mais puisque j’ai manqué mon autobus de 2 minute (ARGGGG) j’ai du attendre 1h pour finalement, manquer bus par bus. Je pourrais vous faire un texte de 3h, mais j’ai pas l’impression que ce serait pertinent de vous mentionner chaque seconde.

Le premier bus devant me mener à Elgin, le premier village, abrite la distillerie du nom de Glen Moray (vallée de Moray).



Une distillerie datant de 1897 ayant comme gérant (et guide touristique) un homme qui semble manquer de vision poétique du scotch.

Il faut savoir qu’il y a plusieurs incertitude dans le scotch, c’est un gros jeu de hasard qui peux durer 12 ans avant de savoir si ca vaut la peine. L’eau, le type de distilleuse, la sorte de feu, ya rien de clair.

La visite fut intéressante, entouré d’un vieux couple de retraité et deux gars un peu perdue.

Comme toute bonne distillerie, le tout se termine au bord d’un dram de scotch, puis d’un deuxième, puis d’un troisième non dilué à l’eau. Le dernier fut le plus impressionnant car les scotchs sont déjà dilués entre le cask et la bouteille.

Qu’est-ce qu’un cask? C’est le terme exact pour un baril en bois recevant un bourbon, vin ou whisky pour la maturation. Et oui, tout n’est pas en métal. L’industrie, quoique milers aux ordinateurs, conservent une part de leur origine car la maturation se fait par le bois, fais artisanalement.

Le scotch est composé de Yeast, de Barley et d’eau, rien d’autre.

Le barley, une céréale, est fermenté quelques jours par chaleur et humidité. Elle est ensuite broyée puis mélanger à l’eau pour créer de l’alcool. Le Yeast vient compléter le processus pour donner différent type d’alcool fade et sa couleur. Vient ensuite l’entreposage dans les cask, pour une période minimale de 3 ans (quoique la plupart des distilleries ne font pas en bas de 8 ou 12 ans).

La maturation apporte la couleur et le gout (ben oui, vous goutez du bois quand vous buvez du scotch).

Malheureusement, vue mes mésaventure d’autobus, je ne peux aller a une autre le même jour. Au lieu de frustrer, je décide d’aller faire un tour de bus, ayant une passe de journée pour la région (au prix qu’elle coute, ma te l’user). J’ai donc pris le long chemin entre Elgin et Aberdeen, en passant par les cotes, questions de voir les petits villages. J’ai pu voir des noms que l’on peut retrouver au canada, comme Banff.

Lendemain

levé plus tôt, couru, je suis deux heure plus tôt que ce que je voulais le jour d’avant, et je manque pas mon bus.

Je me rend a Keith, un village un peu moins loin, abritant la distillerie du nom de StrathIsla, un nom qui m’étais inconnue.




Inconnu jusqu’à ce que je voie le symbole du Chivas Regal, un blended malt que j’ai pris a quelques reprises entre le Québec et ici.

Qu’est-ce qu’un blended malt? C’est un mélange de plusieurs scotch pour uniformiser le gout, certains préfèrent ceux-ci car le gout est pareil et créer artificiellement, transformant l’art en science.

StrathIsla est donc l’une des distilleries possédées par Chivas Regal, produisant la plupart de son produit pour celui-ci car c’est le scotch ayant la plus grande part.

Beaucoup plus petite que la fabrique du jour d’avant, que peu de travailleur à l’ endroit puisque presque personne ne connait le gout qui sort des dis tilleuse et des cask.

Faut dire que le gout n’est pas le meilleur que j’ai essayé, ou plutôt il ne reflète pas mon gout. Je l’ai bien apprécié mais je ne l’achèterais pas, et encore moins sa progéniture, le Chivas Regal qui se trouve facilement au Québec.

Puis je me suis rendue au monstre de l’industrie, celui que tous connaissent, ou presque.

Glenfiddich




c’est l’un des plus reconnus et reculé, assé long le trajet pour s’y rendre, j’ai du passer par Elgin (et attendre 1h pour le bus a partir de Keith et ensuite un 40 minute à Elgin pour faire un trajet d’une heure).

J’arrive donc dans le village de Dufftown, maison de la dernière distillerie possédé par la famille d’origine.

Ils ont fait fortune et continuent de faire du whisky, commanditer des courses de bateau et toutes sortes de belles affaires jet set.

Pour la première fois, malgré la teneur de l’endroit, mon guide n’était pas écossais. La demoiselle se disait italienne, mais y avait-il du canadien dans son accent, je ne l’ai jamais demandé. Aucune sonorité écossaise dans son anglais.

Pendant le tour, ayant la moitié du groupe ne parlant que colombien, on jase pendant que la famille traduit tout. Je finis le tour, après 2 drams, je vais attendre mon bus.

1h30 d’attente, ARG, il est 5h du soir en plus. À la fin, la guide et une autre employée me rejoignent, s’esclaffant que je suis resté a attendre tout ce temps la plutôt qu’attendre a l’intérieur de la distillerie. Jase un peu. J’arrive a Elgin, encore 1h d’attente, elle me montre un endroit ou je peux me réfugier quelques temps, le tesco du village.

Je finis par prendre mon bus, 2h30 jusqu’à ce que j’arrive à Aberdeen

croyez moi, je ne crains plus le 6h dans l’avion. Je me suis assé entrainé dans les dernières semaines.

Épisodique, random, scotcheux

j’espère que vous aimez toujours mes petites histoires car même si je vais fermer ce blog à mon retour au Québec, j’en ouvrirai un autre sur blogger (comme Gabriel qui à 4 ou 5 blogue en suspend lol)

je ne crois pas raconter ma vie de tous les jours mais continuer ma lancée de mes textes sans queue ni tête, avec un corps et une raison.

J’aime bien écrire.

jeudi 24 avril 2008

Hey

Ya pas grand chose à dire, je pense encore à lui, cette Tune, me fait penser un peu à ce que passe par mes pensées des fois, surtout la première strophe.

À savoir s'il est toujours parmi nous, à nous surveiller, à nous encourager.

J'aimerais me dire que chaque fois que j'ai pensée être seul dans mon voyage, il avait la main sur mon épaule pour me rappeler qu'il comprend, qu'il est la.

Je ne sais pas pour vous (qui n'avez pas de lien de sang/famille avec moi) si chaque fois que quelqu'un passe de l'autre coté, les membres restant se mentionnent comment il est probable qu'il reste autour d'une personne en particulier.

Ma tante avait peur que sa mère, reste près d'elle. Mon grand père serait mon coloc de chambre, à la maison familiale.

Que devons nous croire. Est-ce notre façon de rejeter la mort, nous qui avons passé dans un mode laïque. Est-ce une des dernière pensée païenne qui à survécu à la mort du christianisme, ou si vous préférez, à l'agonie de celui-ci en notre terre natale?

Le mort passe dans un monde meilleure mais peut toujours être accessible en passant sous un pont, en voguant sur l'ile d'Awn, en restant éveillé la nuit de la toussaint, autrefois appelé Samhain par nos cousins anglo-saxons?

J’aime l'idée de pouvoir juste parler à voix haute pour me faire entendre, de penser à la personne et m'exprimer. Mais je n'y arrive pas, prisonnier des rituels de notre existence. J’ai besoin d'une tombe, besoin d'une urne, besoin d'un symbole.

Je ne crois pas que je pourrai comme les Tuatha de Danam (fils de Dana, les divinités celte les plus reconnus, ayant combattu les fomors (si vous voulez les connaitre, ouvrez un livre de mythologie grecque, titans contre dieux, excepté plus accessible) et simplement rentrer dans le cairn pour retrouver mon père, une main sur son livre et l'autre en train de caresser un chat sur un divan en ayant la tv dans une pause commerciale de Stargate : Sg1.

L'idée est cocasse mais improbable dans notre société, notre pensée ne peux plus concevoir la mort comme un déménagement à Brossard.

Avons-nous une conception athée? Chrétienne? celte-prechristianisme?

Je trouve étrange notre peuple et toutes nos contradictions. Les européens et les américains ne nous comprennent pas.

Nous ne nous donnons même pas le droit à un after life, un Hell, Un valhalla, une île d'Awn, un fleuve, un paradis, un enfer. Non, nous restons à nous occuper de celui qui a été le plus près de nous. Quand est le repos éternel? Ou est-ce que nous nous divisons? L'âme qui se libère, l'esprit qui reste a hanté le monde et le corps qui pourrit?

Les athées me maudissent surement en brandissant leurs images d’Andy Warhol en ce moment, mais ils lancent mal.

Devrions-nous régresser dans nos rituels de mortification? J’ai en horreur de voir un corps plastifié et je me sens mal devant un bol de poudre. Je préfère le deuxième, c'est même ce que je préconise pour ma carcasse, quand elle en aura besoin dans quelques décennies.

Ou sont les drakkars, ou sont les bijoux qui nous accompagnent dans notre trépas? Que ce passe-t-il si en effet on se retrouve au Valhalla sans arme, on fait rire de nous par des gros Scandinave en train de manger du porc ad vitam aeternam?

Je suis pour un retour à la ritualisation de la mort. Cessons de pleurer, pliez son épée, donnez lui son bouclier ébréché, poussez le navire et laissez le affronter les flots.

La mort ne fait plus de sens, je trouve cela désastreux. On ne regarde pas le futur en se disant : dans l'autre monde, je veux ma place avec mes guerriers fiers. Non, on regarde à sa retraite, a dépenser son argent et voir le plus de choses avant sa mort.

Ben merde, mon père n’a pas vraiment eu sa retraite.

JE dis qu'il la vie en haut, en bas, à droite ou à gauche. Pas là, là, là-bas, quelque part. Clairement il n'avait pas la même vision de moi, lui qui m'a souvent surnommé Lancelot, à la blague.

La mort ne se doit pas d'être triste, elle se doit d'être glorieuse.

Glorieux comme quelqu'un qui brave l’hiver avec le vol de la valkyrie dans les oreilles

Glorieux comme 1812 qui joue a tu tête, un million d'orchestre, des vagues qui se percutent contre le roc et le vent qui tournoie.

Bon j'arrête le fantasme de musique et vous laisse avec la tune que je voulais placer à la base.




Flogging Molly - The Likes Of You Again Lyrics

Here's to you, I sing for my daddy-o
As I lay him down to sleep
It's been so long, since I lost my daddy-o
Hope he's watchin' over me

Wednesday night is mornin' now
As I'm walkin' in the rain
The birds are screaming in my ear
Drivin' me insane
Half the clouds are empty
So the sun burst through the sky
The puddles show reflection
Of a face about to die
Just around the corner, I was goin' round the bend
I ran into a staggerin' fool
Who said he knew my name
He poured himself a whiskey
And his face began to glow
Two men without an answer
Like a dog without a bone

Bringin' in the new year
As the bells began to ring
Fats is in the corner, she's just about to sing
Time to get another, before the final shout
You should have heard them roarin'
When they dragged the bugger out
And we'll never see the likes of you again

Jimbo came from slummin' town
A cold and dreary place
To summerland he found himself
The sun shun on his face
Met a girl called Minnie Pearl
Swore she'd always be his girl
Happy ever after, till the tide ran out again
Pour me all your sorrows
And I'll drink till you are dry
I'll love you in the mornin'
Christ, I'll love ya till you die
I'll never leave so never grieve
I'll be back before ya know
But Jimbo fell into a well
And never rambled home

Carried all his troubles in an unforgivin' bag
Back and forth through painted brick

The colours all seemed bland
I've traveled all these years, he said
To only get this far, so he crossed the street
Found a seat, his home is now a bar

And we'll never see the likes of you again

There must be more to life, than this poxie life
All the agro, all the pain
So he disappeared into his final beer
But the glass was empty, once again, again, again

Woke up in an awful state
Dreamt I was at Peter's Gate
Beggin' for his mercy
And the crimes that were at hand

He told me he was much amused
To see this life I had abused
Best be on your way, but have a swig before you go
So I'm bringing in the New Year
As the bells began to ring
Fat's in the corner, she's just about to sing
Time to get another, before the final shout
You should have heard them roarin'
When they dragged the bugger out

And we'll never see the likes of you again

mercredi 23 avril 2008

Puisque je suis en attente la batterie de mon compy se soit remplie, je me dit qu’il est peut être temps de parler un peu d’Aberdeen.

c’est une ville grise, sans vie. Tout est en granite, en pierre. Ce point est normal mais le problème est que les constructeur semble avoir aimé le fait que le granite soit en mineraie par ici, car tout est de la même couleur. De la, toute l’architecture de la ville tombe, on ne regarde plus les détail, mais les faces de montagnes ou les gens vivent et travail.

Je doit dire que je m’y attendais. J’ai quand même donné une chance à la ville puisqu’elle est la seule place ou je me retrouverai pas dans un Bed et Breakfast (au dessus de mes moyens) dans un village perdue.

mais qu’y-a-t-il d’intéressant par ici? Le chemin des whisky et le chemin des chateaux. Étant une partie developpé par le commerce, Aberdeen-Shire, la région ou je me trouve, à developpé plusieurs village fortifié, les distillerie se sont crée par ici pour combler la demande.

théoriquement, je pourrais visiter 3 distillerie en une journée sur une voie d’autobus.

problème, le bus parfait pour les distillerie intéressante ne passe que le mercredi, soit aujourd’hui.

j’ai appris cela vers 7h ce soir, et je suis arrivé a 13h à Aberdeen.

après avoir visité un peu le centre ville, je me suis attardé a trouver comment me rendre et c’est du peu d’information que le bureau de tourisme (sérieux, ils sont voué à disparaitre, ils savent presque rien, les pamphlet ont plus d’information en général.)

Autre chose qui me déplait atrocement. Je suis assurément le plus jeune dans mon auberge de jeunesse. La moyenne est de 40 ans. Auberge de jeunesse, yeah right. Pas commode, pas d’ambiance. Je peux vivre dans ce genre d’ambiance mais je trouve étonnant, enfin pas tant que ça, qu’il n’y a aucun jeune ici.

ya rien a voir pour les jeunes ici.

même au paradis des retraités(golf), St-andrews restait plus populeuse en jeune. Ici, c’est juste épeurant, je fit pas, plus que d’habitude.

je me résigne à me coller contre une fenetre pour un internet gratuit car celui de l’auberge est 12 pound par jour. Du vrais vol, ça paie les frais d’un mois d’internet en 1 journée facile avec les clients. Si c’était pas que c’est la seule auberge de la ville, je me sauverais en courant.

83

non, c'est pas un groupe de rap

c'Est le nombre de bière essayé, excluant les oubliés lors des sessions.

est-ce que je tente le 100? assé improbable mais bon.

un campus pour une cité

Il semble que je suis bousculé dans mes habitudes ces jours ci d’avoir un texte écris chaque soir. Je suis en ce moment à Aberdeen, une ville de laideur et de Grisatude.

Hier, j’étais dans une ville en plusieurs points le contraire de cette ville de Granite (littéralement).

St-Andrews.

La ville a été fondé par les pictes (wouhou) et lors de leur conversions, ils se sont mis à adorer ce saint mort sur une croix en X. Cet homme (si jamais il a vraiment existé et n’est pas un culte antique qui a revêtu de nouveaux vêtements) est devenu le saint patron de l’écosse lors du fameux signe dans le ciel avant une bataille des pictes alliés aux Scots contre les saxons de Northumberland.

LA ville, devenue repère religieux, voire la capitale religieuse après qu’Iona soit déserté (face aux nombreux raids Viking, ils avaient beau être chrétien, un moment tu te tanne de te faire tuer tes chummy aux 2 mois)

dans le temps, apporter la religion voulait aussi dire, apporter le savoir. St-Andrews est lieux de la première université d’Écosse.

Une crisse de belle université

Le campus est étalé sur toute la ville dans des bâtiments antiques, comme le reste de la ville. Entre une cathédrale en ruine et un château, on y retrouve les logements, le département de philosophie, d’étude cinématographique.



(metaphysique et philosophie morale dans ce batiment)

J’étudierais sérieusement dans un endroit comme ça. Cela fais changement de voir une ville ou la moyenne d’âge m’inclus.

J’ai adoré l’endroit, c’est d’ailleurs le première commentaire que j’ai fait au téléphone lors d’un appel de courtoisie outre mer.

La ville est bordée par la mer, le vent s’engouffre entre les bâtiments de pierre et le son résonne de partout.

J’adore.


Saint Andrew by the sea by ~hysk on deviantART

J’ai tenté tant bien que mal de prendre de belles photos, ce qui m’a touché le plus c’est de voir les bâtiments directement au bord d’une falaise menant à la mer.

Comme quoi, les pictes ont beaucoup de gout.

Ma visite de ce campus géant bordé par la mer me rappel que l’école me manque. Oui, moi l’éternel cancre, as envie de retourner derrière le pupitre. J’ai hâte à septembre, de commencer mes cours. J’en ai surpris quelques uns en annonçant le domaine que j’ai choisie, qui comme moi, n’est pas orthodoxe.

Le sentiment est étrange lorsque partout ou tu peux te promener durant une soirée, les partys de graduations se font entendre de salles privés, d’appartement et de bâtiments de l’université. Moi, le bizarre barbu perdue, entouré de gens chic et en tux, lorsqu’il prend une marche de soirée.

Ça me rappel que j’ai hâte de me raser.

mardi 22 avril 2008

Oban et Stirling en retard

pardon pour le manque de photo, je les mettrai plus tard

Hum, je crois que je vous dois beaucoup d’explications.....vue mon absence de quelques jours. Mon deuxième jour à Oban ne s’est pas passé comme je le voulais. Je l’ai déjà mentionné plusieurs fois, l’écosse est difficile à visiter sans véhicule motorisé.

Or, il y avait sur l’ile de Mull deux cavernes et l’accès à l’ile d’Iona, le berceau du christianisme en écosse. Ben, j’ai rien vue de tout ça, parce que les autobus ne se rendaient pas assé loin. Et que je devais marcher 8 miles aller, prendre mes photo, revenir un autre 8 miles, prendre un bus, tout ca en 5-7h pour ne pas manquer le dernière ferry pour retourner a Oban.

J’ai appris la distance a marché alors que j’étais sur l’ile, après avoir débarqué de l’autobus. Après avoir été sur la route que je devais faire du pouce, ou marcher, j’ai vue que ce serait marcher. Une belle petite route de campagne vide, qui passait a travers montagne, la meilleure idée pour se perdre des heures, ou pour rester bloquer un bon moment loin de toute civilisation.

Alors, pris dans le petit village de Salen, je me suis promener pour découvre 3 épaves a 30 seconde du village (côtier). Prend quelques photos, croise des gens en voiture, même s’ils sont tous dans les 60-70 ans, je m’essaie voir si je ne pourrais pas avoir un lift en faisant pitié. Fonctionne pas, ils sont trop nombreux et avec un chien.

Reprend le bus pour aller prendre le ferry.

J’ai l’impression d’avoir abandonné, mais bon, pour une fois, j’ai réfléchis avant d’agir.

Prend le ferry, je décide de me promener autour d’Oban et fini sur la plage à la sortie de la ville.
Je passe donc 2 heures, assis sur un roc à regarder les gens se baigner (ou tenter de se baigner dans l’océan), ne me sentant pas très bien, je laisse tombé l’idée.

Je finis par marcher tranquillement vers l’auberge, m’asseoir en attendant que la réception ouvre pour avoir mon ordinateur….puis m’endors.

Me réveille avec température et un mal de crane atroce….je suis tombé malade. Je me suis couché tôt, sous les ordres d’une amie sur MSN (haha).

Lendemain, suis partie vers Stirling, soit un 4h de route alors que je suis encore malade, avec mal de tête.
Stirling, une ville dont j’ai souvent entendue parler, soit par le fait que c’est une ville historique ou parce que plusieurs m’ont conseillé d’y aller.

Historique? Pas tant que ça puisque la ville se targue d’être l’une des plus moderne du pays, DOH. Il reste quelques monuments mais rien qui date de la fameuse bataille ou William Wallace n’a défait une garnison anglaise sur le pont de la rivière traversant la petite ville.

J’ai passé une journée à me promener entre les bed and Breakfast tentant d’être humoristique en utilisant William Wallace à toutes les sauces.

J’ai visité le William Wallace mémorial. 1 étage sur 4 lui est attribué, le reste est un hall des héros (90% sont des poètes du 19e siècle)

un truc dont j’étais au courant que j’ai trouvé assé drôle, c’est la statue dans le stationnement, que j’ai oublié de prendre en photo, étant une photo de Willy en mel Gibson, ou le contraire. Comme quoi, Mel Gibson a sauvé l’écosse des Anglais.

Du mémorial, je me suis pointer au château, tant qu’à visiter, visitons tout. Près du château se trouve, the Beheading stone, pierre utilisé par l’un des rois d’écosse pour exécuter le régent ayant pris le pouvoir en son absence (prisonnier en Angleterre).

Cité du couronnement des rois d’écosse, la ville a été le trône d’écosse pendant longtemps, du premier roi Stewart, Robert the Bruce jusqu'à l’exil de la famille.

Le reste est des bâtiments du 18e siècle, ressemblant a tout ce qui se trouve, dont une version du pont de Stirling, placé la ou les anglais auraient été repoussé.

Petite ville tranquille, rien n’a rajouté.

Je suis en ce moment a St-Andrews, je garde le reste pour demain, je suis tanné d’écrire.

vendredi 18 avril 2008

Oban

Journée tranquille

Je suis à Oban, en Écosse en ce moment, puisque je n’ai pas pu aller voir Budapest, j’ai decide de revenir.

Je suis ici pour 3 jours, aujourd’hui j’ai pris ça relax puisque mon genoux me faisait un peu de misère. J’ai marché autour de la ville, pris quelques photos, marché au bord de l’eau. Je déconne pas mal avec le monde de l’auberge, ils sont sympa.

pas grand-chose a rajouter.

mercredi 16 avril 2008

Dublin in a crowd

Après Galway, ma passe touriste semble se continuer, à mon grand désarroi. J’aime visiter, j’aime passer une journée a découvrir une ville en prenant des photos, mais la c’est trop pour moi. Les rue sont remplie a craqué de touriste qui veulent gouter à la vie Irlandaise en dépensant des milliers de dollars en souvenir Guinness.

bon, ok, j’ai un souvenir Guinness, arg ok, je suis coupable.

pour faciliter mon transport, ne sachant pas l’étendue du tramway, ni les couts, j’ai décidé de me faciliter la vie en m’inscrivant à un pseudo tour guidé, me permettant de débarquer et rembarquer (hop on hop off) a volonté pendant une journée. Ce fut apprécié justement car par ici, il n’y a pas de cartes de bus d’un jour, tu te prend une carte et tu met de l’argent dessus, pis tu l’utilise jusqu’à ce que t’aie plus de crédit, soit pas très utile pour moi.

Je suis conscient que je n’ai pas vue le vraie train de vie de Dublin, je n’ai égratiné que la surface. Il faudrais que j’y vive autant que je l’ai fait à Edinburgh. Je voulais donner 2 jour à Dublin et c’est ce que j’ai fait.

La ville est en expansion, comme le reste du pays. Si vous entendez parler du ‘’Celtic tiger’’, c’est la république. Elle est dans un boom économique et ca se voit quand il y a des quartier de gratte ciel en train de pousser aux extrèmes de la cité.

Dublin une longue histoire, originalement fondée par des Viking, devenue ville normande (le nom que l’on donne souvent aux viking qui s’installe quelque part pour de bon) et a su être le berceau de l’Irlande, de sa conquète par l’Angleterre jusqu’à ses tentatives (et réussite) de révolution.

j’ai donc passé à travers les rues, pris des tonnes de photo (ceux qui surveillent mon site de photo peuvent en témoigner par tout ce que j’ai placé dans les derniers jours).



Je ne sais pas si j’aime vraiment Dublin. L’Irlande vs l’Écosse, Kelt vs Picts, l’écosse gagne dans mon cœur, surtout ma bien aimée Edinburgh *J’avoue avoir hate d’y retourner, en plus une de mes amie m’a offert logis la bas, donc pas d’hostel mais un appart!*

les deux cités ont se coté Georgien au niveau de l’architecture, mais pour ceux qui ne le savent pas, Edinburgh est unique au monde par l’histoire de ses developpement architectural, ça je garde ça pour moyen de me faire faire parler a coup de bière à mon retour ;). Des statue partout, représentant de grands homme comme Oscar Wilde, O’connel (celui la est connue dans l’histoire de l’Irlande) ou des femmes comme Molly Malone, reconnue par ses charmes décris dans l’un des grands poème sur la ville.
La cité est paisible, une ville de party, apparement sans grande violence au centre ville, celui-ci est assé safe de ce que j’ai vue.

Il n’y a plus rien d’Irlandais dans la ville néamoins, quelques Irlandais, mais elle a été conquise par les étudiants du monde voulant étudier au Trinity College (oui oui j’ai des photo du campus).



Et simplement pour dire, il n’y a aucune ressemblance entre Belfast et Dublin. J’écris mais je ne sais pas quoi exprimer, la ville n’a pas eu d’impact sur moi, j’ai vue trop vite j’imagine, ou son charme était enterré sous les touristes français (OUI, des français, je peux pu aller nulle part sans entendre leur langage, et ironiquement, mon accent me sauve d’eux qui me parle en ce dialecte, je sonne trop anglophone pour eux j’imagine)



Puis, lors du tour, on me mentionne l’existence du musée Guinnes, étant le plus près de voir comment on fait la fameuse bière, Je décide donc de m’y pointer après avoir déjà fait le tour de la ville avec mon bus rouge sans toit aux 2eme étage.



j’avais déjà prévue de voir au moins un musée dans ma journée, l’histoire celte et norse est forte par ici, pourquoi ne pas en profiter?

Le musée Guinnes me prouve juste a quel point leur goudron (tel que nommé par Nado quand je lui ai raconté) est transformé de la même façon que le scotch, encore plus que la plupart des bières.


apparently im there by ~hysk on deviantART

Vous saviez que l’irlandaise noire que vous buvez au Qc est apparement infect pour les irlandais? Je l’ai surement mentionné dans mon texte sur Galway; Ou saviez vous que nous n’avons pas accès à toutes les sortes de guinnes au quebec? Il y en a une trouvable juste en afrique, asie et Irlande. Ben maudit

je l’ai essayé, pas géniale mais pas pire. Ben oui un musée qui donne de l’alcool! Pire! Un musée remplie d’enfant qui saoule les parents….je l’ai pas trouvé drôle de voir des armée d’enfant me courir autour pendant que maman et papa sont en train de siroter leur bière. Ben droit a leur plaisir, mais l’endroit est ptet mal choisie.

Bon, j’ai appris plusieurs fait cocasse sur la guiness et sur la Harpe officielle (ben oui c’est pas juste un logo, elle existe pour vrais) qui aurais été utilisé pour un concert en l’honneur de Bonnie Prinche Charlie en 1745 (date d’une victoire Jacobite en Irlande si je me trompe pas, ben oui, eux aussi voualent ravoir un monarque Catholique.



j’ai fini ma visite par une pinte, au sommet de la ville, bien apprécié, aurait été mieux si je pouvais simplement m’asseoir, la place étant bondée de poussette et d’enfant (les enfant sont pas suposer être interdit d’entrée dans un bar même avec supervision?).

malgré mon apparence d’être ennuyé par le fait des enfant, j’ai aimé ma journée.


got beer? by ~hysk on deviantART

Je suis revenue a l’auberge, mangé un peu (apparement vital), repartie faire quelques photo de nuit des divers ponts illuminés, donc le Ha’penny Bridge*

*ce pont était payant à sa création, plus maintenant. Il est dit qu’un jour, deux homme sont arrivé et ont demandé au surveillant s’il y avait un prix supplémentaire pour les bagages, l’homme répond que non. Ben l’un des deux saute sur l’autre, celui-ci paie et le porte jusqu'à l’autre rivage.

J’ai continué a me promener, mais la fatigue et l’Appareil mort de pu de batterie. Je reviens a l’auberge et me branche sur MSN, voulant des nouvelles de mon monde et en fait. Écrire ce texte (et un autre). Pendant qu’une belge se fait flirter par un italien, j’en profite pour sortir des réplique pour le casser, trouvant la demoiselle malprise avec un pot de colle. La discussion entre deux devient trio, puis quatuor lorsque son amie se rajoute. Se rajoutent deux suédois (si vous m’avez parlez sur msn a ce moment, la réponse fut probablement ‘’ce sui qebec’’ de l’un d’eux) et on parle musique.

L’italien pars, probablement mécontent, il a manqué son coup avec la flamande. Elles décident de sortir, me propose de les suivres.

on se retrouve dans un pub avec comme party 1 dj, 1 alcoolo et celle qui s’occupe des manteau qui nous regarde bête parce qu’on vas pas remettre les notres. On se sauve, on finit dans un des pub près du Temple Bar (un endroit légendaires pour sa musique live). L’endroit est boboche, on retourne tous a l’auberge, ca peut pas toujours être génial en voyage (j’en connais un rayon la dessus).

lendemain, déjeuner en retard, devant attendre pour ma douche a cause des hippie qui partage la chambre avec moi. Je décide de me rendre au musée national d’Histoire de l’Irelande. Des torques, des fibules, des épée, 1 bateau de l’ère néolithique et 1 drakkar mais aucune photo. Pas le droit. C’est un court résumé mais j’ai quand même passer 3-4h dans ce musée la, c’était passionant.

deuxième arrêt, le pavillon d’art et mode historique, étant a un 40 min de marche de la. J’ai pu voir les vêtement des soldat irlandais, des campagnes britannique contre napoléon aux uniforme des casque bleu. Ce qui était vraiment mais vraiment intéressant est aussi que, surement par manque de place dans l’autre pavillon, ils avaient le Sea Stallion.

mais qu’est-ce que c’est? La plus grande réplique d’un drakkar fonctionnel au monde! Il a été mis à l’eau et est partie de Roswolk jusqu’à Oslo par la mer, ensuite à Dublin (d’où le bateau duquel les travaux ont été basé provient). Completement fait de bois, il a pris la mer, prouvé certaines théorie, brisé d’autres.

voici un petit vidéo de celui-ci, merci Youtube.

ma journée se termine par retourner à la station de Bus, tenter un rabais étudiant (maudite carte etudiant international perimée).

me revoila en direction de Belfast pour une dernière soirée, demain je crois bien tenter de repartir pour L’écosse, tentant d’aller a Oban sans passer par Glasgow, c’est pas gagné d’avance.

lundi 14 avril 2008

tourista

Journée touriste-touriste

suite aux recommandations de mes 2 irlandais qui m’ont adopté pour quelques jours, je suis allé faire un tour guide aujourd’hui.

Évidemment, c’était dans mon budget mais avoir sur je ne l’aurais tellement pas pris haha. Le tour consistait en un tour de la région, avec explication, ce qui aurait du être.

J’ai visité les plus belles falaises de l’Irlande, une caverne et marché dans de la roche. Je suis déçu, pas par ce que j’ai vue, mais pas le manque d’information. Le guide, un irlandais bedonnant de bière, faisais que mentionner ce qui était autour de nous, sans histoire, sans fait.

la caverne, marché un trou de roche pendant 20 minute pour apprendre qu’on peux pas aller jusqu'à la fin alors on finit par marcher dans un tunnel creusé pour revenir. J’ai plus appris sur Keith Richard et les ours que sur les cavernes.

À mon retour, je rejoins Cody pour aller prendre une pinte dans un pub local. On finit par rester à manger avec un de ses collègues de travail et sa demoiselle. Blague douteuse, humour louche et rire cartooneste de la demoiselle. Ma journée termine donc sur un point positif car maintenant je me tape un 4h de bus pour retourner à Dublin.

J’aurais aimé avoir plus a raconté, alors je vais me forcer demain de trouver des faits intéressant sur Dublin.

dimanche 13 avril 2008

Galway

Vous allez être sois fier de moi, sois trouver désolant mon comportement.

Je suis en lendemain de veille terrible. Il ya quelques temps, j’ai rencontré 2 canadien a Inverness, en vacance alors qu’ils vivent en Irlande. Ors on s’est addé sur Facebook et j’ai gardé contact, posant des questions sur ou aller dans leur contrée, alors que je les avais conseillé lorsqu’ils étaient dans mon fief.

Brenda, m’avais donc sortie a un point, que si je voulais voir la vraie république, je devais aller a Galway. Ben je l’ai crue, surtout que Pierre (pour les belenois, vous saurez de qui je parle) m’avais conseillé de voir Cork et Galway. Bon, ca a foiré pour Cork, trop loin et pas assé de temps. Je me suis donc pointé à Galway le lendemain de mon départ de Belfast, sachant pas trop quoi faire. Je laisse un message sur Facebook à la demoiselle, lui disant que je me pointe dans son coin, si elle veut aller prendre un verre, question que je connais des locaux. Elle accepte et me propose carrément d’être mon guide.

Je m’attendais pas à grand-chose de quelqu’un avec qui j’ai jasé en personne 1 seule fois. Et bien, sans problème, elle m’a présenté son chum, l’un des jeunes du village (bon jeune, plus vieux que moi) pour qu’il me conseille ou aller (il y a des tonnes de pub dans le village). Il dit que je devrais me pointer a certaines place, 1 pub en particulier pour la meilleure Guinness en ville, ben oui la Guinness c’est une religion ici, ça et le sport.


On se cuisine de la bouffe, Cody nous rejoint. Nous sommes donc 3 parts différentes du Canada, Brenda la Nova Scotian, Moi le Frenchie, et Cody l’ours Albertain. On commence à boire, en bon alcoolique, faut se réchauffer avant de sortir. Quelques pintes de cidre (je deviens de plus en plus un gars de cidre) et plusieurs blagues, apparemment, on fait un bon trio, les 2 se connaissent depuis qu’ils ont emménagé à Galway il y a environ 4 ou 5 mois. Dans les pintes que j’ai eu, j’ai pu essayer une bière célébrant Monty Python and the Holy Grain (la Holy Rail, j’aurai des photos quand ils les loaderont sur Facebook, Darn!)



On rejoint le chum de la demoiselle au pub, continuons à boire, tout devient de plus en plus flou, j'suis pas exactement sur du reste de la soirée, je me souviens quand même comment je me suis rendue a l’auberge.

problème, j’avais l’intention de prendre un tour pour voir un peu de paysage, en dormant sur le cidre et la bière de ma soirée, je me suis réveillé au moment ou le bus est partie. Tant pis. J’appel Brenda (s’était convenue que si j’y arrivais pas, on allait se promener). On se donne tous les 3 rendez vous.

Festival du mal de crâne, les 3 sommes en piteux état, il pleut mais tous d’accord que le Session du jour d’avant était génial. On se rend a ce qui s’appel l’arche espagnole, le restant de médiéval de la ville (95% moderne, moi le loveux d’histoire, j’suis resté un peu déçue quand Jai appris ça). On se met au jeu le plus cruel possible dans notre état : nourrir les cygnes, canard et mouettes au bord de l’eau. Cruel? Ce l’est si tu jeté un morceau de pain dans une foule d’oiseau sur l’eau, ca fait des montagnes de bestiaux qui s’entretuent (ou juste se picosser).

Good time pour 2 euro.

On décide de longer la mer, car Galway est carrément de l’autre coté de l’Irlande que Dublin.

Le Soleil décide de se pointer, de nous donner une belle journée. On continue le long des rocs qui finissent par devenir plage de sable fin. On trouve de tremplin pour se retrouver dans l’eau azur, salée et complètement gelé, on est quand même en avril.



Truc drôle, en grande Bretagne, il y a naturellement des palmiers, dans certaines Isle d’écosse et en Irlande, on en retrouve parfois, c’est le cas ici.

On jase au bord de l’eau, de tout et de rien et puis on remarque une bande de fille se jetant a l’eau, les 3 canadiens frémissent du froid, je leur raconte le truc de l’eau des rivière Cuillin, on déconne que je devrais aller rejoindre la demoiselle crevant de froid et criant dans la mer.



Ben vous savez quoi, j’ai refait le truc de la rivière, je me suis trempé la tête dans la mer, me débarrassant de tout électronique et t-shirt (on sait jamais). Rafraichissant et me débarrassant de mon mal de crane pour quelques minutes. Affamé, nous terminons notre après midi dans un pub, a manger un bon repas dans un pub, nouvelle Bière, la Hooker.

On marche jusqu'à mon auberge et on se quitte, en disant, à la prochaine fois!

Demain, je risque de faire le tour, puis partir pour Dublin.


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sorrow by ~hysk on deviantART


And If... by ~hysk on deviantART

Belfast

Je suis enfin sortie de Belfast. Mon cauchemar est terminé.

Terrorisme, religion, des roux en liberté, tout pour montrer que c’est le pire endroit sur terre.

Ben voyons donc, ouvrez-vous lez yeux.

Pour ceux qui ne connaissent pas le background Historique de l’Ulster moderne, voici un petit topo : L’Irlande a longtemps voulu l’indépendance du royaume uni, c’est pour cela que plusieurs mini colonie ont été crée en lançant sauvagement des anglais et des écossais ayant un autre point de vue politique et religieux en les terres. La plupart ont été envoyé dans l’Irlande du Nord, surtout à Belfast.

La tension a monté en même temps que le radicalisme pour l’indépendance, ce qui a résulté à une guerre civile entre catholique et protestant. L’IRA, le groupe politique ayant fait des bombardements à Londres et a plusieurs autres endroits étaient bien implantés. Puis est venu le référendum et l’Irlande du Nord est resté dans le royaume uni. Voici environ 100 ans d’histoire d’Irlande.

Un cessez le feu a été décrété en 1990, et une paix officielle en 2005 avec l’IRA qui a accepté de se montrer non violente (officiellement)

je suis donc passé brièvement dans cette cité Irlandais, la première ou j’ai mis les pieds (j’ai techniquement volé au dessus de Dublin 3x dans ma vie)

ma première impression fut assé mauvaise, voire inquiétante. Le bus me trainant du Ferry jusqu’au centre ville m’a montrée une cité de Brique rouge. Je voyais déjà l’état industriel qu’est montré dans les films (voir Au nom du père avec Daniel Day Lewis).

Avec une carte en main, j’ai marché jusqu'à mon auberge de jeunesse. Je devais passer par l’une des rues historiques des problèmes des années 70-80-90, Sandy Row. Cette rue est le ghetto des UFF (Ulster Freedom Fighter), avec cette murale pour m’avertir d’où je mettais les pieds…



croyez moi, j’ai eu la chienne et envie d’appeler ma moman, ce que j’ai fait justement. Je me pointe a mon auberge, une place un peu punk, je suis déjà en état de panique intérieur, ca m’aide pas. Je dépose mes trucs et vas me promener, pas d’appareil photo, pas rien sur moi.

Et la j’ai découvert la ville
J’ai commencé à aimer l’endroit, j’étais situé à 2 pas de l’université, l’une des universités.

Le nightlife est remplie de soirée avec groupe de musique, de pub remplie de vie et d’ambiance géniale. Je fini ma soirée en prenant une Harp (bière Blonde que j’avais pas touché depuis 1 ans au moins) dans un pub avec de la musique rock blues des années 60. Une gang de Old geezer, un band de cover, Un clone de danissimus (pour ce qui le connaisse) qui headbangue et se trémousse les hanche un peu trop a mon gout :s

Ambiance spéciale. Le lendemain, je me suis mis en quête de marcher tout le centre ville, ce que j’ai fait.
Après un peu de stress de dernière minute (plusieurs choses sont tombées à l’eau en l’espace de quelques heures, DOH), j’ai découvert qu’en ce moment ce passe le festival de film de la ville des Œuvres de partout au monde, et malheureusement toutes les heures intéressantes sont plus tard dans la semaine (dans 6 jours). J’ai donc du abandonner Belfast pour prendre un bus allant a Dublin, y rester pour une nuit, pour pouvoir me pointer a Galway demain. Perte de temps, je sais, mais j’avais pas envie de couper sur ma visiter de Belfast et de passer 6h dans un bus.

Suite dans les jours à venir.


UFF by ~hysk on deviantART

vendredi 11 avril 2008

Between Scotland and Germany

Entre l’Allemagne et l’écosse

dans ses lettres ouverte, mon ami Gabriel a mentionné la différence qu’il trouvait entre son voyage et le mien. Tout deux sommes exilés de notre terre natale durant la même saison et retournerons durant le même cycle de lune sur la terre de nos ancêtres les plus récents.

Chaque vision est le coté d’une médaille, chaque voyage est différent. Il a choisie la quantité et moi le détail. Tous deux sont merveilleux, différent.

Mea culpa mon ami, pour l’impression que je donne sur ce que je sais sur les Écossais, sur les irlandais. Oui j’ai appris de mes rencontres (telle avec Eoghann Macleod, je l’ai rencontré à plusieurs reprise avant qu’il soit mon guide par deux fois (entre Edinburgh et Inverness, puis d’Inverness à Skye). J’ai choisie mes livres en fonction de ce que je voulais connaître, j’ai lu pendant des années sur cette contrée. Tu as toi-même l’un de mes livres en ce moment. Peut être en auras-tu un autre si je termine ma lecture de mon encyclopédie celtique.

Tu montre un certains désarroi face à la mémoire sélective des Allemands pour leur passé. Ils ne le mentionnent plus, ils deviennent des américains moderne en Europe (c’est d’ailleurs leur réputation lorsqu’ils voyagent, je me souviens d’allemands agissant comme des rois à Venise quelques années auparavant). Si leur Histoire est encore fraîchement sanglante, ils ne sont pas les seuls à ne pas affronter leur passé. Le peuple écossais ne parlait pas anglais il y a 262 ans. Ils étaient un peuple unis (par James 4, un Écossais sur le trône anglais) avec les Anglois du sud.
Ils ont souffert d’être parmi les premiers esclaves envoyés en Amérique, avant la traite des noirs. Ils n’ont pas bronché, voulant garder la paix avec ce roi Hollandais ayant pris la place qu’un Stewart aurait du avoir. Ils ont perdue leur droit à la religion Catholique, ils n’ont pas trop bronché.

Puis est venu ce petit français, descendant d’un cousin de Mary Stewart, ancienne reine d’Écosse. Il voulait ramener sa ligné au pouvoir, la ligné de son père, resté en France. Arrivé d’un bateau, il a perdu ses hommes et donc a monté au nord. Il a construit son armé de Jacobites (Jacobite voulant dire royaliste envers James 7, qui a été jeté de son trône puisqu’il était catholique et non anglican). Il a conquis l’écosse, ce petit gringalet avec un kilt multicolore aux couleurs à la mode de France. Il est descendu jusqu'à Londres par des victoires pour se faire avoir par un agent double qui lui aurait transmis de mauvaises informations.

Bonnie Prince Charlie, surnommé ainsi grâce a son prédécesseur, Bonnie Dundee (Bonnie veut dire : beau, loyal, toutes les bonnes qualités d’un chef), membre du parlement écossais ayant mené batailles avec claymores, targes, cutlass et 1 arme a feu contre les grenades et canons des anglais. Celui-ci a gagné Mais est mort durant cette bataille d’Highlander en Kilt contre des guerrier Dragoon en rouge et mousquet.

C’est donc en 1746 que lors de la dernière bataille que Bonnie Prince est devenue simplement Charlie. Ses hommes, tués; lui, en cavale sur l’ile de Skye (il a du se déguiser en femme pour s’y rendre, avec une barbe de 3 jours).

La ou l’histoire de ce prince qui s’enfuit en France semble ce terminer, la honte des écossais commence vraiment. Le roi d’Angleterre, très content d’avoir du essuyé une rébellion, a imposer ses règles de vainqueurs. Comment tuer un peuple? Tue sa culture.

Gaélique
kilt
cornemuse
armes
fortification
rassemblement de groupe

Tous sont devenus illégaux. Les écossais devaient devenir anglais. Ils ont encore un accent mais le Gaélique a survécu par ceux qui sont contrevenus aux lois et ceux trop loin pour être sous l’œil des Anglois, tel les Macleod et Macdonald vivant sur Skye.

Tu vois Gabriel, eux aussi n’ont plus de passé, ont leur a arraché. Tout ce qui leur reste, c’est quelques mots, ou quelques ptites régions ou les gens se parlent en Gaélique entre eux. J’ai côtoyé des écossais, j’en connais plus qu’eux sur le sujet (j’en connais plus sur le Québec que bien des gens de souche). Un bon exemple, Lou, Louise pour ses parents, petite amie de Evans, le gérant de l’auberge à Inverness. Elle fut une petite sœur avec qui je blaguais a tout bout de champs; rousse, avec l’accent écossais raffiné au papier sablé. Elle ne sait rien de son histoire, la trouve ennuyante.


Je pourrais crier ‘’Dunn your Gunn’’ * et elle ne saurait pas que je crie l’un des dernier crie de guerre Jacobite. Je pourrais chanter la ballade de Bonnie Dundee, à part les vieux, personne saurait que cela parle de la réalité.

Les enseignants racontent l’histoire des vainqueurs et l’ancienne langue n’est pas transmise.

Tu vois, J’ai passé 6 mois en Écosse pour apprendre ceci, notre désarroi de conquis, il y a pire. Ils sont même moins que nous, qui ne sommes qu’une colonie. Ils tournent au suicide, à la violence juvénile, aux drogues. On dirait notre société. Mais au moins ils n’ont pas radio énergie ou Ckoi, ya de la bonne musique qui joue, de la mauvaise aussi mais ya rien de parfait dans la vie.


Je n’ai bien sur pas écrit tout ceci pour tourner le couteau dans la plaie mais pour démontrer que c’est toi qui doit lire, qui doit découvrir. Tu m’étonne parfois, tu lis plus que moi et pourtant ta collection de livre était presque tous d’auteur français lorsque je suis allé te voir. Ou son les livres de mythologie Germanique? Ou sont les Saga? Ou est Beowulf, ou est Grendell? Ou est Thor? Ou même Toutates (celui qu’on cris quand on a peur que le ciel nous tombe sur la tête) si ont vas loin dans les connections des mythes. C’est moi qui crie à la celtitude, qui cherche l’enseignement par vive voix, mais c’est toi qui as eu des amis te montrant les décombres d’ancienne guerre ou la foret a repris sa place. Tu as vécu d’extraordinaire rencontre lors de tes voyages.

Tu vois, moi aussi j’aurais aimé voir des dizaines de pays, juste pour rayer quelques endroits de ma liste. Je veux voir Malte, je veux voir ce que tu as vu. Je n’ai vue qu’un seul paysage, pierre par pierre. Je suis toujours aussi en amour avec la terre ici mais ca ne sera que plus dur de partir, car j’ai vécu sur les côtes de l’ancien monde sans fouleur les terres intérieures, sinon que brièvement.

J’espère que tu ne diminue pas ton voyage, l’herbe est toujours plus verte chez le voisin (quoi que techniquement, l’herbe est CRISSEMENT VERTE ici mais c’est un autre sujet) mais oublie pas que ton jardin est plus diversifié! Ne pense pas que mon voyage est meilleur ou pire. Tous deux en sortent avec une vision de notre propre monde qui se doit d’être enseigné à ceux qui n’ont pas eu le courage de nous suivre. Mon dram et ta bière, ton lederhosen et mon kilt, nous trinquerons aux hommes que nous sommes devenues devant ceux qui nous ont tant manqués.

J’envie ton voyage, tout ce que tu as vue, tu as voyagé, tu ne t’es pas installé comme j’ai tenté de faire. Le voyage me stress encore, tu as surement une désinvolture qui me reste encore à apprendre.

Budapest est notre prochaine destination, je ne sais même pas ce que nous y ferons. Je m’en foue, Je veux juste rattraper les petits pépins qui ont jeté à l’eau le trip a Berlin. On s’était mal compris, je veux juste me dire que si ca à foirer chez toi, dans un pays qui n’est ni le tien ni le mien, on va te rocker ça a fond, ton accent germanique et mon accent Anglos!

I look forward to see you again my friend.

PS: c’est fou ce qu’on peut écrire pendant l’attente d’un ferry pour aller en Irlande, je m’impression moi-même, 3 pages Word en Calibri 11 (mais pourquoi pas times new roman???).

*Dun your Gunn : phrase utilisé par les highlanders après qu’il aient commencé a avoir des armes a feu de façon plus courante. Les armes étaient massives et complètement en fer. Puisqu’elles étaient solide et ne pouvait tirer qu’un coup, Les highlanders, les Jacobites, lançait leur arme au visage de l’ennemie pour créer surprise et mal de crane en attendant qu’une lame les transperce. C’est donc ce que les Anglais entendaient avant de se faire tirer dessus et ensuite charger par des hommes aux yeux de feu et à la langue inconnue pour eux. Je sais pas pour vous, mais je veux faire ça dans ma vie.

autre ps pour ceux qui ont encore envie de me lire : me rappeler la guerre Jacobite me ramène à ce que Eoghann m’a déjà dit (en fait il la dit à tout le monde dans le tour. Mais bon il est fou, il a du sang de Fay). Woot je suis entre l’écosse et l’Irlande la! Ce que mr Macleod as dit, est que le voyage, l’histoire d’ailleurs est toujours intéressante certe, mais que de ces découvertes, il espère donner le gout, ou que le gout se gagnent de lui-même, de connaitre son propre pays. J’ai envie de voir plus du Canada, faudrais que je fasse un trip pour aller en Alberta, j’ai une amie la bas, voir la nouvelle écosse, terre neuve, et la colombie britannique. J’ai un accent assé anglophone maintenant que je me ferait pas traité de Frog :p.

Woot 4 pages! Faut que je m’arrete lol vous allez me détester car je vous fait travailler.

Dhaibidh

écris le 10 avril

jeudi 10 avril 2008

leaving for another Isle

alors que je m'apprete à quitter mon pays d'adoption pour 2 semaine, je vous laisse une ballade écossaise qui représente bien ce que je pense.



ironie, le vidéo a été fait en Ontario mais la balade est d'ici (bon le ici au moment ou j'écris)


Caledonia By Dougie Maclean

I dont know if you can see, the changes that have come over me
In these last few days, ive been afraid that i might drift away
And ive been tellin old stories, singing songs
That made me think about where i came from
Thats the reason why i seem so far away today.


Oh but let me tell you that i love you
And i think about you all the time
Caledonia your callin me and im goin home
But if i should become a stranger
You know that it would make me more than sad
Caledonia your everythin ive ever had.


Well ive been moved, and ive kept on movin
Proved the points that i needed proovin
Lost the friends i needed loosin
Found others on the way
And i have kissed the ladies and left them cryin
Stolen dreams theres no denying
Travelled hard with contience flyin
Somewhere with the wind

Oh but let me tell you that i love you
And i think about you all the time
Caledonia your callin me and im goin home
But if i should become a stranger
You know that it would make me more than sad
Caledonia your everythin ive ever had.

Now im sitting here, beside the fire
The empty room the forest choir
Flames that couldnt get any higher
Theyve withered now there gone
But im steady thinking my way is clear,
And i know what i must do tomorrow
When the hands ive shaken and the flown i will dissapear.

Oh but let me tell you that i love you
And i think about you all the time
Caledonia your callin me and im goin home
But if i should become a stranger
You know that it would make me more than sad
Caledonia your everythin ive ever had.

mardi 8 avril 2008

a Fairie tale..

Je vous écris d’un autobus qui me fais traverser Presque la moitié du pays la....je suis en route pour Glasgow. Pourquoi Glasgow, parce qu’il ne me restait pas assé de temps avant mon départ pour l’Irlande pour aller me perdre dans les montagnes de glencoe ou dans les iles près de Oban (quoi que j’ai quand même visité pas mal d’île depuis le début de mon voyage!)

Hier, je suis retourné pour une dernière tentative de me retrouver dans la fayrie Glen. Cette fois-ci ce fut une victoire amère, les fay ont encore gagné contre moi je crois.

Encore sur le pouce, j’ai pu me rendre à Portree, ce qui veut dire ¾ du chemin. Mes bienfaiteurs furent un écossais de Broadford, 2 américains (dont l’un est un écossais de Skye en visite dans sa terre natale pour visiter son père mourant, veux veux pas, je le comprends)

à partir de la, bus à rabais m’amène a Uig et j’ai trouvé le chemin, le temps était clément. Les fay m’ont bien eue cette fois-ci.
À peine arrivé, tout est calme. Pas un bruit excepté les pas que votre conteur favoris faisait. L’entrée de la vallée était gardé par 4 moutons, vous vous direz, beeeehhhh, ya rien la. Je vous jure qu’il y avait quelque chose de malsain de 4 animal cornu qui s’arrêtent de brouter, se mettent en ligne et te regarde, suivant du regarde tes déplacements sans s’éloigner, sans bêler. Je passe les gardiens sans un mot, ne sachant pas qu’elle formule de politesse utilisé ceux-ci. À peine rentrée sur le territoire, il commence à pleuvoir, une vraie douche froide. J’entends un croissement de corbeaux et le bêlement d’un mouton, les deux rapproché par un dixième de seconde, comme un appel ou un avertissement.



Je tente de me trouver un abri mais il n’y a aucune cave, aucun bâtiment dans la vallée, tout n’est qu’arbre sans feuilles, collines sans ouvertures et ruines sans toit. Je me réfugie sous les arbres, les pieds dans la merde de moutons, yay. A un certains point je m’ouvre les yeux, tentant de voir si un wee folk me regarde et rie de moi. Ce que j’ai vu, c’est le vent entre les branche des arbres, les entrainants dans une danse macabre, inquiétante. Je sors mon appareil photo pour prendre en vidéo le tout, le vent s’arrête brusquement.




Je décide de m’éloigner tandis que les éléments sont calmes. Je monte en hauteur, tente de prendre quelques photos, le vent se lève à nouveau avec sa compagne pluvieuse. Je tente de photographier un cairn, une sorte de petite entrée sous-terraine en bloc de pierre, trop petite pour que je puisse m’y introduire.



Je suis sur l’un des sommets, et j’aperçois un camion, qui as la forme de la plupart des véhicule de tour privé, je les observe quelques minutes. Je me dis qu’au pire ils me prendront pour une fay, ça feras leur journée.

Le vent est de pire en pire, je redescends et vois à peine devant moi, je me cache dans une fissure du château de pierre féérique. Je commence sérieusement à m’inquiéter, si je peux pas descendre, que je suis complètement trempée, je risque l’hypothermie. J’en arrive à dire aux fay que je veux juste sortir, que je voulais juste montrer aux gens que je connais l’endroit merveilleux ou vivent les fée (le vent augmente), que soit ils me laissent partir, soit que je vire serviteur d’eux, je crois que la panique s’est emparée de moi. À cette seconde la, Roger à apparu


non, Roger n’est pas une fée OU quoi que ce soit de magique, c’est un des touristes du tour. Moi qui croyait qu’aucun d’eux ne sortirait vue la température…yen as un presque aussi fou. Le vend redescend, je croise un autre gars qui se présente a moi. C’est le guide touristique. Il m’offre un lift et me dit qu’il passe par Kealakin (Caol Acain en gaélique), que je peux rester avec eux jusque la.

Il m’explique que je leur ai foutue la trouille, à peine ils sont arrivée que le guide se met à parler des fées et des changeling qu’une forme noire à apparu du sommet des montagnes, clairement en train de les observer. Ils étaient sur d’avoir vue un wee folk, dans ce temps complètement fou. Je suis donc présenté comme une âme perdue, un changeling aux membres du tour guidé. On m’offre thé et biscuit.

Le chauffeur m’apprend qu’il est un ancien guide de Mackbackpacker, qu’il connait le guide que j’ai eu pour aller à Skye.

Ils sont carrément dans une journée dédiée aux endroits féérique et je suis arrivé à l’avant dernier point de leur voyage, celui d’ensuite étant le bain des fées, situées dans l’une des Cuillin. Nous nous y rendons. Le bain se retrouve au bas d’une chute qui apparemment, l’eau est magique et sensé être bénéfique pour celui qui la bois.

Vous vous attendez à quoi? Bien sur que j’en ai bue!



Nous suivons le lit de la rivière jusqu’au bain pour le retrouver enseveli sous l’eau, en général, c’est possible de marcher jusqu’au bord. Le temps gris et le détail de l’eau font que j’ai une image médiocre. Je suis quand même d’une humeur extra ordinaire, je siffle, j’en chante presque, je cours entre les rocher du chemin. Pourquoi? Parce que je rie de l’ironie de ma situation, de toute la température horrible que j’ai eue, qui donne mes photos moyennes, un presque rhume et le fait que j’ai surement manqué plusieurs choses de l’un des endroits les plus beaux de la planète.




J’y retournerai avec une voiture. C’est clair que je refais l’écosse avec un véhicule.

Maintenant, je retourne vers une ville, une grosse ville. Je crois que j’ai besoin de m’enfermer entre des bâtiments de bétons pour mieux apprécier tout ce que j’ai vu et verrai. Prochaine destination, je pars de Glasgow en autobus pour prendre un ferry qui va me mener à Belfast, en Irlande du Nord. Je devrais passer 5 ou 6 jours dans le pays. Ensuite, non je ne vais pas au Danemark mais plutôt en Hongrie, un trip, le Danemark semble se débarrasser de son histoire, de se vouloir juste moderne et je trouvais pas d’information a part pour Copenhague. Je vais donc à Budapest avec Gabriel pour 4 jours. Ça me donne plus de temps pour voir la cotes Est de l’écosse par la suite!

Je crois que c’est un bon plan, je crois.

dimanche 6 avril 2008

up to Skye and far beyond

me voici à mon deuxième jour sur l’ile de Skye.

Cette ile me rend perplexe. À la base, je devais me pointer ici au lieu d’aller à Inverness après mon escapade à Fort William.

Je suis donc passé de Inverness ou j’ai passé d’un 24h de repos, ou j’ai pu revoir mes amis la bas. Le lendemain, le bus me ramasse vers 3h, le chauffeur, me connaissant un peu me présente comme un pervers….ça commence bien.

Le guide/chauffeur se nomme Eoghan Macleod of Macleod, stun vraie de vraie, ayant lien avec le chef du clan. Pour ceux qui ne savent pas, il ya 2 clans sur l’ile de Skye, les Macleod et les McDonalds. Mon guide, venant de Dundee, écossais aux cheveux long, barbue et yeux bleu en kilt, nous as donc raconté et trainer partout sur l’ile.

La première partie du tour est plutôt tranquille, on part d’Inverness jusqu’a Kealakin, le village ou se trouve le village. Je ne suis pas le seul staff member dans le tour, il y a deux gars, un kiwi et un aussie, que j’ai déjà rencontré Au High street Hostel, celui ou je suis allé dans mon 24h Edinburghmania.

On va tous au pub, je jase avec 2 américain (une du Montana et un de l’Iowa). Tout le monde se mélange et je finis la soirée a jasé avec une Suisse, une française allemande et une canadienne (ontarienne). On déconne, l’alcool coule a flot et je fini par dire a la blague que si elles me paient un verre, je vais porter un kilt pendant le tour le lendemain….





ben devinez quoi
















J’ai fier allure en kilt moi (ps, c’est la vallée des Fées)




Nous avons donc commencé la journée de samedi par une trempette dans l’eau dans la rivière Cuillin, à l’embranchement de la rouge et la noire (nom venant des deux montagnes Cuillin, d’où arrivent les rivières). L’eau aurait apparemment le pouvoir d’améliorer l’apparence des gens. C’était notre premier arrêt, plusieurs d’entre nous encore saoul, en ont profité par dessaouler avec l’eau glacé.




La tête mouillé, les jambes kilté et l’esprit en fascination, j’ai continué le tour.

Nous avons continué par passer par Portree, le village principal de l’île et nous avons profité pour nous trouver un déjeuner de pâtisserie fraîche.

De la, nous avons continué a travers les montagnes, les Cuillin, pour nous retrouver a l’endroit d’une ancienne fortification picte, un Cairn. De la, quelques photos, explication du guide (sur des trucs que je savais déjà, j’en sais plus que je pensais sur le sujet). Plusieurs photos sont surement du vent qui joue avec le kilt, à savoir comment je porte le kilt, seul les gens présent le savent. C’est a ce moment la que tout le monde a commencé à déconner ensemble, moi et Jon, l’un des américain, avons couru en raid vers le cairn (j’attends la photo par facebook), et la descente vers l’autobus encore plus drôle vue qu’il a commencé à grêler. Oui oui, le ciel me mitraillait les jambes tandis que je courrais (j’ai eu des les cuisses pleines de trace rouge pour un bon 20 min après ça)



on se dirige ensuite Dunbheagan Castle (Dunveagan en anglais), le château du chef des Macleod. Les Macleod, en plus d’être des immortels qui se battent avec katana, sont associés avec les fées. Certains des Macleod sont descendants de l’union du petit peuple et d’highlander. L’un des Highlander aurait vécu 20 ans parmi les fées puis serait revenu avec les enfants qu’il a eues avec sa compagne féérique. Comme preuve, ils ont un artefact appelé le voile féérique. La légende raconte que le voile serait apparu une nuit de fête lorsque la nourrice serait restée à la fête. Après quelques temps, elle décide d’aller voir l’enfant des Macleod (un des descendant féerique), en chemin, elle aurait entendue des chansons de fée venant de la chambre de l’enfant, sans que personne soit la et celui-ci était emmitouflé dans un voile en satin (le satin est arrivé en Europe a l’époque des croisades, le voile date de 4 siècle avant la première croisade). Le voile aurait le pouvoir de faire appel à l’aide des fées, et peut être utilisé que 3 fois. La première fois, ce fut pour combattre les Macdonald (ils ont été vaincu même si ils étaient plus nombreux), le deuxième pour éteindre le feu qui ravageait Dunbheagan, et personne est vraiment sur si ya été utilisé une troisième fois.

de la, je regarde le château et le voile (rendue pas mal scrap et en mauvais état depuis le temps)

le guide nous traine ensuite voir un de ses amis, qui s’occupe du musée du plus grand géant naturel du monde, soit quelqu’un de géant sans avoir un problème de glande. Ce gars la, Angus Macaskill, faisait 7 pied et demi, 425 livres et pouvait labourer un champs sans cheval. Il a été dans les foires au canada et aux états unis comme l’un des hommes le plus fort du monde.

De la, nous sommes allé à l’ endroit le plus intéressant de l’ile, du moins niveau histoire qui m’intéresse. J’en ai souvent parlé avec Kamylle. C’est la vallée ou le petit peuple a habité, habite, habitera. La vallée en elle-même n’a pas la même géographie que le reste de l’ile, les collines sont en strate, et en plateau.

L’endroit est jonché de Cairns, de ruines de maisons antiques. Des emplacement de feu sont présents, puisque les fée ont droit aussi aux réjouissances des flammes lorsque les Hommes sont loin. Je n’ai pas vraiment pu apprécier l’endroit pour la raison suivante : les gens du tour, qui courent, qui crient (j’ai pu entendre 50 fois ‘’ITAHE’’, de la part d’une certaine Yuki). J’ai quand même pris quelques photos mais je dois retourner la bas, je veux y méditer.





J’ai quand même pu apprécier le vent et la neige, OUI LA NEIGE.



Nous continuons notre chemin, passons par kilt rock, des strates de roches qui ont le même pattern qu’un kilt. Ces falaises étaient bien.

Nous sommes tranquillement revenu a l’auberge, jaser avec Eoghan et ensuite, tous au pub!
On a donc finis saoul, mais moins que la soirée d’avant, à se battre a coup de balle de neige, puisque nous avons eu entre 5 et 10 cm de poudreuse. Bien sur tout à fondue le matin.

Cette neige là était annonciatrice du lendemain, j’aurais du le savoir.

Je ne suis pas reparti avec le groupe le lendemain, puisqu’ils repartent vers Edinburgh. J’ai voulue retourner au Fairie Glen (vallée des fée) mais surprise, rendue a Uig, le village le plus près (j’ai pris un bus pour m’y rendre. Le principe était de prendre un bus, aller la bas et ensuite faire du pouce jusqu'à mon village, qui est à l’autre extrême de l’ile). Tout va bien, y fait soleil au village. Je pogne le bus, 1h plus tard je suis à Uig mais en chemin il a commencé à neige. Neige + grand vent = pas cool.

Je tente donc de trouver le chemin en plein blizzard, je finis par abandonner, c’est juste me tirer dans le pied, je commence à avoir les pied trempe déjà, je suis mieux de repartir. Comme aucun bus semble passer, je commence à faire du pouce, en pleine tempête. 2 anglais me ramassent et me ramène a Portree, le village principal. De la je marche et me fais ramasser par d’autres anglais qui me déposent en pleine montagnes cars ils vont ailleurs. DOH. J’attends 2 min et 2 écossais de Edinburgh me ramasse, et en plus logent a l’auberge voisine de la mienne, donc me ramène (un bon 30 minute a 70 miles/hour).

Je rentre a l’auberge me change et c’est la ou j’en suis maintenant.